🖤🖤🖤
Un jour ce sera vide a été un coup de cœur pour beaucoup. Ce n’est pas mon cas pour ce livre pourtant bien écrit, mais si vous me connaissez un peu, vous savez que j’ai besoin qu’on me mette les points sur les i, alors les livres tout en non-dits…
🖤🖤🖤🖤
Oui, c’est un bon livre auquel j’ai mis une bonne note parce que le traitement du thème est original, qu’il est superbement écrit. J’ai pourtant peu apprécié ma lecture, n’arrivant pas à trouver crédible la réaction du fils aîné ou de certains autres personnages.
🖤🖤🖤🖤
Une histoire vraie que l’auteur raconte avec pudeur, même si le lecteur comprend plus de choses qu’il n’y paraît au premier abord. Trente-sept se lit facilement et rapidement, mais je serais surprise que vous oubliiez Ben et Clafoutis.
🖤🖤🖤
Aziyadé est aujourd’hui davantage une curiosité littéraire, relative à un monde enterré qu’un ouvrage qui a passé le temps. Son univers narratif, ses personnages sont très ancrés dans le XIXe siècle, ils sont déroutants pour un lecteur de notre époque.
🖤🖤🖤🖤🖤
Avec Le Grand Monde, j’ai voyagé de Beyrouth à Saïgon en Indochine, en passant par Paris. J’ai suivi les péripéties des membres de la famille Pelletier, dont les drames personnels se mêlent aux évènements historiques. Et toujours l’écriture subtile et ironique de Pierre Lemaitre.
🖤🖤
Si le contenu d’un livre vous indiffère pourvu que le style soit bon, vous aimerez Le Premier Exil, mais, si le contenu du livre a quelque importance pour vous, épargnez-vous cette lecture, bien loin de l’excellent Le ghetto intérieur, du même auteur, Santiago H. Amigorena.
🖤🖤🖤
Difficile de surnager pendant la rentrée littéraire, en 2021, les livres forts y ont été nombreux. La définition du bonheur est un bon livre, mais banal et fade, sans aspérités auxquelles se raccrocher malgré tous les thèmes abordés.
🖤🖤🖤🖤🖤
Faut-il vivre sa vie ou la rêver ?
L’auteur part d’une situation particulière, une jeune femme musulmane homosexuelle, pour en faire une histoire aux thèmes universels : femme et religion, amours contrariées et désirs d’enfant.
🖤🖤🖤🖤
La quatrième de couverture de Mon mari parle d’un livre d’une irrésistible drôlerie. Je ne dois pas avoir le même sens de l’humour. En revanche, j’ai adoré la double chute que je n’avais pas vue venir.
🖤🖤🖤🖤🖤
Le Soudan du Sud, l’aide humanitaire et ses compromis, les journalistes et les risques insensés pris pour témoigner sont les composants de Sous le sol de coton noir, un livre de Paul Duke, coup de poing nécessaire pour aller au-delà des chiffres et des mauvaises nouvelles annoncées par les journaux télévisés.
🖤🖤
La vie religieuse dans des couvents — dont les buts ont été heureusement modifiés — au milieu du XXe siècle est un sujet attractif. Mais n’est pas Denis Diderot qui veut, je n’ai pas compris grand-chose à l’histoire racontée dans Sous le voile.
🖤🖤🖤🖤🖤
Le passeur de Stéphanie Coste explore les méandres de l’âme d’un passeur cynique et l’impitoyable réalité des migrants sur les rivages de la Libye. L’histoire, où espoir et désespoir se côtoient, est magnifiée par le style puissant de l’autrice.
🖤🖤🖤🖤
J’ai rencontré Maritza Jaillet sur Twitter, ses salutations matinales exubérantes, chaleureuses et joyeuses me manqueraient si je ne les trouvais pas chaque jour. Elle a distillé sur les réseaux sociaux des informations sur son nouveau livre, Je contrôle la situation, qui m’ont donné envie de le lire.
🖤🖤🖤🖤🖤
Comment un être humain peut-il se détester à ce point ? Au point de haïr tous ceux qui lui ressemblent et de passer à côté de sa vie ? Seul un immense écrivain peut arriver à rendre crédible une sombre histoire où le nœud de vipères n’est autre que le cœur de Louis, un vieillard malade.
🖤🖤🖤
Même si les qualités de La fille qu’on appelle sont réelles, j’ai eu quelques difficultés à le lire, le style de l’auteur m’a bloquée (oui, j’aime les styles sobres et fluides).
🖤🖤🖤🖤🖤
Je me suis inscrite à un Challenge avec un objectif modeste, découvrir les auteurs que je ne connaissais pas, et puis de belles trouvailles en belles trouvailles, les envies de relecture sont venues.
🖤🖤🖤🖤
Brèves de solitude ressemble plus à un exercice de style qu’à un roman. Un ouvrage qui a peut-être passionné davantage l’écrivain, Sylvie Germain, que le lecteur.
🖤🖤🖤🖤🖤
L’amant de Marguerite Duras est une lecture envoûtante par le style et par le mystère qui entoure la petite fille (quinze ans et demi) et ses pensées. L’amant est moins énigmatique, tout à sa passion pour la jeune fille.
🖤🖤🖤🖤🖤
Au printemps des monstres ne se lit pas facilement, malgré le style plus qu’agréable de l’auteur et son remarquable sens de la narration : Philippe Jaenada a rendu accessible une affaire dont le dossier pesait 19,5 kilogs, avant les recherches entreprises par l’auteur et par ceux qui l’ont devancé.
Voici plusieurs années maintenant que j’ai rencontré Jacqueline Lefort à une séance de dédicaces. Ses romans de terroir, appuyés sur de profondes recherches, m’ont tout de suite séduite. Noël approchant, un de ses livres fera le bonheur d’un de vos proches lecteurs.
🖤🖤🖤
Un livre conseillé par un ami lecteur que le style de Lumière enthousiasmait. J’avoue ne pas partager entièrement son enthousiasme — pour le moment ; l’auteur a indéniablement du talent.
🖤🖤🖤🖤🖤
Lire La retraite sentimentale, c’est entrer dans un monde où les jours s’étirent pour laisser la place à des descriptions vivantes et sensuelles, d’un sous-bois, d’un feu de cheminée ou de comportements animaliers.
🖤🖤🖤
C’est une histoire un peu oubliée que raconte Christophe Donner dans La France Goy : la montée de l’antisémitisme au tournant du XIXe siècle et du XXe siècle. Un livre qui ravira les amateurs d’histoire, avec quelques réserves quand même.
🖤🖤🖤🖤
Est-ce que La porte du voyage sans retour de David Diop m’a particulièrement touchée ? Non. Est-ce que j’ai appris quelque chose ? Non plus. Est-ce que ça en fait un mauvais livre ? Pas davantage. Un bon livre, certes, mais qui n’apporte pas grand-chose au lecteur et surtout pas d’émotion.