Littérature française

Littérature française, classique et contemporaine

En arrière plan, une affiche représentant 3 combattantes kurdes, au premier plan la couverture du livre de Patrice Franceschi, S'il n'en reste qu'une

S’il n’en reste qu’une — Patrice Franceschi

🖤🖤🖤🖤 C’est un livre qui m’a moyennement plu, mais qui m’a donné envie de lire d’autres ouvrages de l’auteur. Bien sûr, S’il n’en reste qu’une, un hommage fort aux hommes et aux femmes kurdes qui ont lutté contre les islamistes a de quoi émouvoir, mais le parcours de la journaliste m’a semblé artificiel et sans grand d’intérêt.
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En arrière-plan, un feu d'artifices et au premier plan, la couverture du livre de Claire Berest, Artifices

Artifices — Claire Berest

🖤🖤🖤🖤🖤 Après avoir lu La carte postale d’Anne Berest et après avoir été séduite par les relations entre les deux sœurs, j’ai eu envie de lire Artifices de Claire Berest. Et bien m’en a pris, dans un tout autre registre (le thriller) que le livre de sa sœur, Artifices mérite sa présence à la rentrée littéraire.
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En arrière plan, un jeune homme et un ordinateur, au premier plan, la couverture du livre de Camille de Peretti, Les rêveurs définitifs

Les rêveurs définitifs — Camille de Peretti

🖤🖤🖤🖤 Un débat aussi vieux que l’invention des machines : finiront elles par dépasser l’homme ? Une discussion qui n’est pas près de s’arrêter. Et pourtant le titre de l’ouvrage, Les rêveurs définitifs, parle de rêves. Oui, mais dans un monde où nous vivons accrochés à notre smartphone.
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En arrière plan BISTROT en lettres, au premier plan, couverture du livre de Jean-Michel Guenassia, Le Club des Incorrigibles Optimistes

Le club des Incorrigibles Optimistes — Jean-Michel Guenassia

🖤🖤🖤🖤 J’aime bien replonger dans des époques que j’ai plus ou moins vécu, histoire de vérifier une fois de plus comme le temps a modifié notre façon de voir les choses. Le club des Incorrigibles Optimistes et ses 729 pages souffrent de quelques longueurs. Il tient néanmoins ses promesses.
Lire la suiteLe club des Incorrigibles Optimistes — Jean-Michel Guenassia
En arrière plan, Ne pas oublier, au premier plan, couverture du livre de Robert Merle, La mort est mon métier

La mort est mon métier — Robert Merle

🖤🖤🖤🖤🖤 Qu’il est dérangeant de lire La mort est mon métier ! Écrit à la première personne, il raconte la vie d’un monstre, d’un psychopathe qui a envoyé des centaines de milliers d’êtres humains dans les chambres à gaz du camp de concentration d’Auschwitz.
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