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Que vous connaissiez la Nouvelle-Calédonie ou non, que vous ayez l’intention d’effectuer ce très long voyage ou non, lire Cannibale de Didier Daeninckx vous en apprendra davantage sur ce pays. Il entretient aussi le devoir de mémoire.
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En racontant ses derniers jours avant son exécution, un condamné, anonyme, mais coupable, en relate les souffrances. Victor Hugo n’avait que vingt-six ans quand il a écrit Le dernier jour d’un condamné.
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Difficile de parler de ce livre, Le bruit et la fureur, auquel je n’ai strictement rien compris pendant plusieurs dizaines de pages et qui m’a peu intéressée quand l’écriture est devenue plus claire. Alors, je vais plutôt évoquer l’expérience que l’ouvrage.
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J’ai été tellement touchée par ce livre d’Ito Ogawa que j’ai eu du mal à choisir le livre suivant. Le goûter du Lion est à la fois bouleversant, rempli de sérénité et d’amour de la vie, des émotions que je n’attendais pas à la lecture de la quatrième de couverture.
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Une très bonne surprise que ce livre de Tom Noti. L’intrigue originale, la justesse des personnages et le style magnifique font de Témoin de rien un ouvrage à lire absolument.
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Il y a la forme et il y a le fond. Sur la forme, j’ai été trop émerveillée par L’amant pour refuser l’idée que Marguerite Duras est un écrivain de génie. Sur le fond, La douleur m’a rappelé une interrogation : comment Marguerite Duras, dont l’image et les propos publics m’avaient souvent indisposée, pouvait-elle être l’auteur de L’amant ?
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Partez en Indonésie avec Florence Tassoni, puis revenez à Paris et Marseille pour mieux repartir ensuite. La promesse de l’archipel est un roman dépaysant, décoiffant et bien écrit.
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Une saga familiale basée sur un fait historique peu connu. J’ai malheureusement peiné à m’attacher aux personnages du livre Les déracinés et je ne suis pas certaine de la continuer la série.
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Que j’ai aimé ce conte sombre d’Andreï Makine, L’archipel d’une autre vie où les invraisemblances et la naïveté du héros tiennent lieu de magie. Et que j’ai aimé que l’auteur aille plus loin que la traditionnelle fin heureuse.
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Paris est une fête évoque un temps révolu, celui des Américains venus vivre à Paris parce que tout est moins cher. Hemingway, prix Nobel de littérature 1954 peint une atmosphère particulière, le bonheur, la légèreté teintée d’inconscience avec le recul de celui qui connaît la suite de l’histoire.
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Ça arrive, des œuvres auxquelles je donne une bonne note alors que j’ai moyennement apprécié. Normal, si je m’en réfère à mon plaisir de lecture, c’était un 2 ou un 3, mais quand je regarde de plus près, je n’ai rien à reprocher à Où vivaient les gens heureux.
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Légendes d’automne est un recueil de trois novellas, âpres et violentes, où l’on retrouve la plume de Jim Harrison, des histoires peut-être plus proches de nous que certaines autres même si elles restent étrangères à notre culture.
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Numéro deux explore les coulisses du casting d’Harry Potter à travers les yeux de Martin Hill, le garçon qui a échoué de peu à remporter le rôle. La plume de David Foenkinos est fluide, son humour subtil, de quoi me transporter de Londres à Paris.
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Des jeunes gens peut-être pas si éloignés que ça de ceux de notre époque, mais j’avoue avoir trouvé l’écriture de Gatsby le Magnifique, un peu désuète.
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Un avis mitigé pour La vie clandestine, un roman intimiste de Monica Sabolo. Je n’ai pas été passionnée par sa quête sur les anciens membres de l’organisation Action directe ni par celle qui concerne la narratrice. Cette œuvre est trop floue ou trop confuse pour moi.
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La passagère est un livre émouvant, dommage que la première partie soit un peu ennuyeuse, mais dans la deuxième partie, Léna saura vous séduire en vous parlant de sa mère et de sa grand-mère, venues du Cap Vert.
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La nuit des pères de Gaëlle Josse est une histoire trop subtile pour moi où il faut attendre longtemps pour que les pièces se mettent en place et arriver à la conclusion que des gens impossibles, ça existe.
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Le mage du Kremlin vous fera pénétrer dans les arcanes du pouvoir russe. Vous y croiserez un des conseillers les plus proches de Poutine, et bien sûr, le Tsar en personne. Pas très facile à lire, après tout il s’agit d’un roman politique.
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La chronique d’Il n’y a pas de Ajar a été difficile à rédiger sans doute parce que ce texte de Delphine Horvilleur n’a pas été écrit pour être lu, mais pour être déclamé devant des spectateurs.
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Un coup de cœur pour ce livre d’Halimata Fofana, À l’ombre de la cité Rimbaud. L’autrice a quelque chose à dire, à défendre et elle le fait parfaitement, écriture fluide, narratrice attachante et pas de haine. Lisez ce livre indispensable.
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Un de mes flops de la rentrée littéraire 2022. Même si j’ai retrouvé la jolie écriture d’Olivia de Lamberterie et si j’ai pris plaisir à lire la deuxième partie de Comment font les gens ? je ne suis pas sortie convaincue de cette lecture.
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American Dirt raconte le voyage à travers le Mexique de Lydia et son fils Luca. Issus de la classe moyenne, ils fuient Acapulco après le meurtre de leur famille et rejoignent les migrants qui veulent atteindre l’Amérique, malgré les dangers.
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Écoute la pluie tomber confirme le talent d’Olivia Ruiz. Sa merveilleuse plume magnifie une histoire originale que j’aurais pourtant aimée plus chronologique.
