Des écrivains intègrent des œuvres d’art dans leurs romans pour développer une intrigue, ou décrivent des émotions devant une œuvre. Ils créent aussi des artistes fictifs et quelques-uns semblent si réels que je n’ai pu m’empêcher de vérifier. Ils s’inspirent également d’artistes pour continuer à nous faire rêver.
J’ai lu tous les livres que je vous recommande, même s’ils ne sont pas chroniqués sur le site. De quoi comprendre un peu mieux un pays qui semble s’éloigner de nous.
Depuis quelques années, des livres paraissent sur l’après-Deuxième Guerre mondiale. Une guerre commence des décennies avant le conflit et ses conséquences perdurent. J’ai regroupé ici des chroniques qui en donnent un aperçu.
L’écrivain, qui raconte sa vie, mêle des éléments de fiction, il en fait une œuvre littéraire.
Et Annie Ernaux alors ? Elle fait bien de sa vie une œuvre littéraire ? Oui, mais elle reste au plus près de la réalité et elle réfute elle-même ce terme.
L’observation de la nature est essentielle dans ce genre, nature writing, né aux États-Unis. L’écrivain Henry David Thoreau en a été l’un des précurseurs avec Walden ou la Vie dans les bois, son œuvre majeure.
Les livres feel-good ou livres qui font du bien m’intéressent quand ils induisent un effet positif sur un sujet qui peut être sérieux ou dramatique. Vous trouverez donc peu de romans qui font rire ou sourire dans ma liste, et même parfois, des œuvres qui vous émouvront jusqu’aux larmes.
J’aime beaucoup trouver de l’humour dans un genre où je ne m’y attends pas. Bien sûr, j’ai trouvé plus d’humour dans les cosy mysteries que chez Michael Connelly ou encore Annie Ernaux, mais sourire ou rire en lisant, quel bonheur.
J’ai découvert la science-fiction par des recueils de nouvelles. Il m’en est resté le goût de ces histoires courtes, réalistes ou non, à chute ou non, mais toujours denses. Mon auteur préféré : Guy de Maupassant.
Vous aussi, ils arrivent de vous passionner pour la vie de personnages et d’attendre avec impatience le tome suivant ? Et c’est avec regret que vous dites adieu aux personnages à la fin du dernier ouvrage ?
Ils sont ancrés dans leur territoire, parlent de leur histoire, des traditions ou tout simplement de la vie d’aujourd’hui ou d’autres fois. Vous connaissez certainement des auteurs tels que Georges-Emmanuel Clancier (Le pain noir), Christian Signol (La Rivière Espérance), Claude Michelet (Des grives au loup).
Je ne chronique désormais que très exceptionnellement des livres en autoédition. Pourquoi ? Parce qu’il est très difficile de déterminer quel livre pourrait me plaire. Et, selon mon expérience, 4 romans sur 5 sont médiocres, mauvais, parfois affligeants. Mais j'en ai aimé et je vous les présente.
Mon voyage pour l’Islande a été l’occasion de découvrir la littérature du pays. Je suis arrivée à l’aéroport international de Keflavík et j’ai pris le bus pour Reykjavik. La ville compte plus de 120 000 habitants pour une population totale de 372 000 habitants.
Nous avons le prix Goncourt, les Américains ont le prix Pulitzer qui, au fil des années, a récompensé nombre de grands auteurs tels que John Steinbeck, Philip Roth ou encore William Faulkner. Un moyen sûr d’en apprendre plus sur la littérature américaine.
Cent-quinze prix Nobel de littérature ont été décernés depuis 1901. Bien sûr, on peut en discuter les choix et il y a de grands absents (Marcel Proust), mais on peut aussi les regarder comme le reflet d’une époque.
Le prix Goncourt des lycéens est le prix que je préfère, parce que les lycéens sont sans doute loin des critères des grands prix et plus proches de ceux des lecteurs. Vous ne serez donc pas étonnés de trouver plusieurs critiques sur mon site.
Parmi les meilleurs prix Goncourt, on retient Marcel Proust, bien sûr, dont le prix Goncourt pour A l’ombre des jeunes filles en fleur a cent ans en 2019, ainsi que le plus récent parce qu’on ne peut pas échapper à l’emballement médiatique qui suit la remise du Prix.
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Les éditions Hogarth ont demandé à des écrivains de réécrire des pièces de William Shakespeare à l’occasion du 400e anniversaire de sa mort (1617). Ils l’ont appelé Hogarth Shakespeare project.