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Malgré les aller-retour entre différents lieux, différentes époques, je n’ai pas lâché La cité des nuages et des oiseaux. Le livre d’Anthony Doerr est addictif, passionnant et incite à la réflexion.
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Harlem Shuffle parle surtout de cambriolage, de vengeance, un peu du commerce à Harlem dans les années 1960. Si vous aimez que le personnage principal soit un demi-malfrat, ce livre de Colson Whitehead devrait vous plaire.
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Balzac n’est pas un auteur facile, il faut que le lecteur accepte les longues descriptions pour parvenir au cœur de l’histoire et de ce qu’elle signifie. La peau de chagrin, un roman fantastique, ne fait pas exception.
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Rares sont les romans policiers qui arrivent à me tromper, je me laisse pourtant manipuler par Chrystel Duchamp et la fin me cueille toujours par surprise. Ajoutez à cela un univers terrifiant, un tableau intitulé L’île des morts et vous aurez une idée du livre de Chrystel Duchamp, L’île des souvenirs.
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Croire en sa chance, nous explique Pete Fromm dans Mon désir le plus ardent, ce n’est pas se donner les meilleures chances de réussir, c’est se donner les meilleures chances d’avoir une belle vie, les meilleures chances d’affronter les obstacles, les meilleures chances de compter pour quelqu’un.
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Le vieux qui lisait des romans d’amour est un livre trop court pour susciter chez moi l’émotion qu’il mérite. J’aurais apprécié plus de pages sur les Shuars, en tout cas davantage qu’avec les colons qui n’ont rien de sympathique.
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Même si la chute d’Un cri sous la glace de Camilla Grebe ne m’a pas surprise, j’ai néanmoins passé un bon moment à essayer de comprendre, avec Peter et Hanne, ce qui s’est réellement déroulé dans la maison du crime.
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Difficile de résister à se promener à l’intérieur des tableaux proposés par Marie Barbou Jouéo dans Le carrousel d’Andréa, tant le choix qu’elle a fait est séduisant. Une œuvre prétexte à rêverie et réflexion.
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Un feel good ? La papeterie Tsubaki d’Ito OGAWA en est un, sans nul doute, mais il a quelque chose de particulier, il invite à choisir sa vie avec soin pour ne pas en laisser échapper une goutte.
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Je ne vous conseille pas d’offrir le livre de Lionel Shriver, À prendre ou à laisser à vos grands-parents. Même si le ton est léger, il nous met en face du pire de ce que peut être la fin de vie, la dégénérescence ou sa peur.
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Difficile de passer à côté de la sortie du tome 6 de L’arabe du futur. À force de le voir chroniqué, j’ai commencé la série, une autobiographie bouleversante.
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Sa préférée est un livre brutal sur un sujet violent. Il n’est pas un ouvrage de plus sur la maltraitance familiale, mais l’histoire des conséquences ravageuses sur une vie d’adulte.
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En 1517, naviguer autour du monde était, à juste titre, un exploit. De nos jours, habitués aux voyages faciles et pratiquement sans danger, on peut se demander quel genre d’homme était capable de braver l’inconnu, pour gloire et argent, évidemment, mais qui, se faisant, faisait progresser le savoir.
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Assemblage annonce la couleur ; le roman est composé de bribes de scènes, de paragraphes non liés, de réflexions entendues, de pensées qui s’immiscent. L’émotion est pourtant là, puissante. Elle m’a laissée sans voix.
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J’ai été captivée par le début de Gazoline, par la façon dont Emmanuel Flesch présente le village et les personnages. Mon intérêt est malheureusement vite retombé, peut-être parce que retrouver la vie quotidienne d’un village, même en 1988, n’est pas ce que je cherche dans une lecture.