
Gens de Dublin — James Joyce
🖤🖤🖤🖤🖤 Gens de Dublin est un recueil de nouvelles, le premier ouvrage de James Joyce. Une façon pour moi de repousser la lecture de son chef-d’œuvre, Ulysse, très exigeante. Je le lirai certainement… un jour.
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🖤🖤🖤🖤🖤 Gens de Dublin est un recueil de nouvelles, le premier ouvrage de James Joyce. Une façon pour moi de repousser la lecture de son chef-d’œuvre, Ulysse, très exigeante. Je le lirai certainement… un jour.
🖤🖤🖤🖤 Certes, Elena Standish fait partie du MI6, mais La mort sur la conscience d’Anne Perry est davantage un roman noir qu’un roman d’espionnage. Il tire sa force des tensions qui existent en Europe dans les années 1930.
🖤🖤🖤🖤 Difficile de se passionner pour ce territoire si lointain, dont on n’entend parler que pour des révoltes auxquelles je ne comprenais rien, faute de m’y intéresser, il est vrai. Et puis, après un trajet, long, interminable, l’arrivée à l’aéroport de Tontouta, les cinquante kilomètres pour rejoindre Nouméa, l’océan et les surprises réservées par l’île.
🖤🖤 Si dans vos lectures, vous aimez le style ou l’écriture par-dessus tout, vous devriez envisager la lecture de Théodoros de Mircea Cărtărescu. Mais si comme moi, vous préférez apprendre quelque chose d’une biographie, même romancée, vous risquez d’être déçu.
🖤🖤🖤🖤 Dans Froid comme l’enfer, Lilja Sigurdardóttir utilise les champs de lave islandais et donne ainsi une atmosphère particulière au livre. Malgré cela, j’ai trouvé ce roman noir trop plat pour vraiment accrocher ma curiosité.
🖤🖤🖤🖤 Brooklyn de Colm Tóibín raconte l’histoire d’une jeune femme, Eilis Lacey, forcée d’émigrer aux États-Unis parce qu’elle ne trouve pas de travail chez elle, en Irlande.
L’observation de la nature est essentielle dans ce genre, nature writing, né aux États-Unis. L’écrivain Henry David Thoreau en a été l’un des précurseurs avec Walden ou la Vie dans les bois, son œuvre majeure.
🖤🖤🖤 Le recueil de nouvelles, Les voisins de Diane Oliver, est un document qui montre la vie quotidienne dans les états du sud-est des États-Unis à l’époque de la ségrégation raciale.
🖤🖤🖤🖤 Edgar Morin, malgré le titre de son livre, Leçons d’un siècle de vie, n’entend donner de leçons à personne. D’ailleurs, il continue de réfléchir, de s’interroger, de douter à presque cent ans. Ce fut ma première leçon de vie.
🖤🖤🖤🖤Long Island de Colm Tóibín est marquant grâce à ses personnages qui ont, c’est le moins qu’on puisse dire, des difficultés à dire les choses et à se décider. De là, à être une des lectures indispensables de la rentrée littéraire 2024, je ne le crois pas.
Est-ce que j’y ai pris du plaisir ? Pas vraiment. Force est de reconnaître que mes compétences de lectrice ont eu du mal à s’adapter.
🖤🖤🖤🖤🖤 La frontière se brouille entre littérature générale et mauvais genres (romans policiers et de science-fiction). Auprès de moi toujours de Kazuo Ishiguro ne fait pas exception, il s’agit d’une dystopie beaucoup plus littéraire que porteuse de leçons.
🖤🖤🖤🖤 Je n’ai pas trouvé dans Underground Railroad de Colson Whitehead, l’émotion que j’attendais. J’ai nettement préféré Nickel Boys du même auteur parce qu’il est tout aussi effroyable, mais beaucoup plus sobre. Les deux livres ont pourtant reçu un prix Pulitzer.
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Le jardin arc-en-ciel d’Ito Ogawa est rempli de délicatesse, de douceur, et même de bons sentiments. Est-ce pour cela qu’il m’a touchée ? Aussi, mais surtout parce qu’il décrit, derrière toute cette sensibilité, une réalité plus sombre qui ne cesse de frapper à la porte de cette attachante famille.
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Dans Pourquoi j’ai mangé mon père, Roy Lewis explique comment un père de famille pithécanthrope et ses fils ont découvert le feu, la cuisine, les vêtements et bien d’autres choses, quitte à jouer les apprentis sorciers. Un avertissement que l’humain n’a jamais pris au sérieux.