🖤🖤🖤🖤 Liane Moriarty explore les conséquences psychologiques d’un évènement bouleversant sur trois couples et leurs enfants. J’ai adoré la finesse des personnages. En revanche, le commencement nébuleux de Un peu, beaucoup, à la folie m’a perdue. Heureusement, j’ai fini par me passionner pour cette histoire malgré le rythme lent de la narration.
🖤🖤🖤 Avec Vous parler de mon fils, Philippe Besson s’attaque à un sujet brûlant et poignant : le harcèlement scolaire. Si son écriture reste élégante et que la rage de certains personnages m’a convaincue, le roman m’a laissé un goût d’inachevé. En cause ? Une narration superficielle, qui peine à capturer toute l’émotion du drame. À lire ou à éviter ?
🖤🖤🖤🖤 Avec La vie ossecaille — Un an à Taipei, Léna Vathy m’a emmenée dans un voyage à la fois dépaysant et introspectif. Entre la découverte fascinante de Taipei et la plume inventive de l’autrice, l’évasion est totale. Pourtant, une fin un peu précipitée m’a laissé un goût d’inachevé.
🖤🖤🖤🖤 Avec Tata, Valérie Perrin m’a embarquée dans un récit foisonnant, porté par des personnages inoubliables et une plume fluide qui rendent la lecture addictive. Les rebondissements, souvent audacieux, enrichissent l’intrigue, mais frôlent parfois l’excès, et menacent la crédibilité du récit.
🖤🖤🖤 Avec Houris, Kamel Daoud plonge au cœur de l’Algérie contemporaine, explorant des thèmes tels que la décennie noire et la condition des femmes. Si l’écriture est d’une beauté remarquable, l’émotion m’a manqué et je suis restée à distance.
🖤🖤🖤🖤🖤 Découvrez une saga familiale captivante, La dynastie des Forsyte de John Galsworthy, prix Nobel de littérature 1932. Cette fresque offre une vue incomparable sur les relations sociales de la riche bourgeoisie anglaise. Le rythme est lent, mais les personnages rendent cette série addictive.
🖤🖤🖤🖤🖤 Avec Le cygne et la chauve-souris, Keigo Higashino tisse une intrigue policière captivante et richement détaillée, plongeant le lecteur au cœur des rouages de la justice japonaise et du quotidien tokyoïte. Si la lenteur du rythme peut dérouter, l’histoire accroche et j’ai aimé la note d’espoir de la fin.
🖤🖤🖤🖤🖤 Plongez dans l’histoire de Matveï Belov, un homme broyé par la cause qu’il défend, dans un roman où la narration impeccable et les émotions tiennent en haleine. Si la partie française m’a déçue par son parisianisme, le reste du récit, riche en surprises, m’a transportée dans un univers différent, pourtant pas si lointain.
🖤🖤🖤 Avec Patronyme, Vanessa Springora livre une quête intime en explorant les mystères de son héritage familial. Porté par une jolie plume et un rappel de la crise des Sudètes, le récit déçoit toutefois par sa dimension trop personnelle, manquant de transformer cette histoire singulière en un écho universel.
🖤🖤🖤🖤 Camille Laurens explore la vie de Marie van Goethem, modèle de la sculpture de Degas, La petite danseuse de quatorze ans. Elle interroge les regards de l’époque sur l’œuvre d’art. Je me suis immergée dans cet essai qui évoque la création artistique, mais aussi les conditions sociales du XIXe siècle.
🖤🖤🖤🖤🖤 Le livre d’Olivier Norek, Surtensions, n’est pas seulement un roman policier à l’intrigue impeccable, mais aussi un roman noir aux personnages complexes. Et ce n’est pas tout, comme dans Entre deux mondes, il utilise un thème très actuel, les prisons, pour ancrer son histoire.
🖤🖤🖤🖤🖤 Mörk de Ragnar Jonasson est un roman policier comme je les aime, un coupable que je n’identifie pas rapidement (pas du tout en réalité) et des personnages qui permettent de soutenir l’attention. Parfait pour se détendre.
🖤🖤🖤🖤 Le soldat désaccordé de Gilles Marchand m’a plongée dans une enquête sur les combattants disparus de la Première Guerre mondiale. J’ai apprécié le style magnifique et le contraste saisissant entre noirceur et lumière, même si je suis restée sur ma faim quant au sort des Alsaciens.
🖤🖤🖤🖤 J’ai découvert le prix Nobel de littérature 2006, Orhan Pamuk, avec ce roman, Mon nom est Rouge. J’ai aimé plonger à Istanbul au XVIe siècle, le roman polyphonique et les histoires racontées par les personnages.
🖤🖤🖤🖤🖤 Filles de la mer de Mary Lynn Bracht est un coup de cœur d’abord parce que l’intrigue est prenante. Ensuite, le roman raconte un crime de guerre, l’organisation par l’armée japonaise d’un système d’esclavage sexuel pendant la Deuxième Guerre mondiale. Enfin, les deux personnages principaux sont des femmes plongeuses de l’île de Jeju.