🖤🖤🖤🖤 J’ai aimé le livre de Douglas Kennedy, Ailleurs chez moi parce qu’il m’a permis de comprendre comment la plus grande démocratie mondiale pouvait être menacée. À lire en complément des deux précédents romans de l’auteur, Les hommes ont peur de la lumière et Et c’est ainsi que nous vivrons.
🖤🖤🖤🖤 J’ai aimé Sang d’encre de Robert Galbraith parce que l’intrigue est ludique : prenez des notes et essayez de deviner qui est qui. Cherchez aussi les liens entre les personnages. Ce qui vous fera supporter les longueurs du roman.
🖤🖤🖤 Un certain Paul Darrigrand de Philippe Besson peut, certes, se lire indépendamment du roman précédent, Arrête avec tes mensonges, mais ce n’est pas ce que je vous recommande. En effet, l’histoire est moins prenante, plus froide et l’intérêt réside surtout dans l’évolution du personnage principal, Philippe.
Depuis quelques années, des livres paraissent sur l’après-Deuxième Guerre mondiale. Une guerre commence des décennies avant le conflit et ses conséquences perdurent. J’ai regroupé ici des chroniques qui en donnent un aperçu.
🖤🖤🖤🖤🖤J’ai tourné les pages du roman d’Ibon MARTIN, La valse des tulipes, avec beaucoup de plaisir. Même si le dénouement manque un peu de surprise, le lieu, les multiples intrigues ainsi que des personnages bien construits en font une valeur sûre.
🖤🖤🖤 Les âmes féroces de Marie Vingtras semble un roman très apprécié. Ce n’est pas mon cas, il est vrai que je ne suis pas fan des personnages sombres, ce qui est totalement subjectif. La construction avec quatre narrateurs est parfaitement menée, mais j’ai trouvé l’intrigue faible et je suis restée sur ma faim concernant certains personnages.
🖤🖤🖤 Si vous voulez en savoir plus sur la belle histoire du Chambon-sur-Lignon et du plateau Vivarais-Lignon, consultez plutôt les deux titres que je vous indique en fin d’article. En revanche, si vous êtes davantage intéressé par un récit romanesque à souhait et plein de rebondissements, Qui sauve une vie sauve le monde de Madeleine de Place est fait pour vous.
🖤🖤 Dans la collection, Ma nuit au musée, Thierry Frémaux évoque un de mes lieux préférés de lyonnaise, l’Institut Lumière, situé au numéro 25 rue du Premier-Film à Lyon. Hélas, je me suis ennuyée parce que je n’ai pas retrouvé l’enthousiasme et l’émotion ressentis lorsque j’ai visité ce lieu.
🖤🖤🖤🖤 Un livre de Ragnar Jónasson ne se rate pas. Même si dans La mort en blanc, l’auteur n’est pas au sommet de son art, ce roman policier se dévore. Surtout, il fait un lien impeccable avec Hulda, le principal personnage de la trilogie La dame de Reykjavik.
🖤🖤🖤Entre 7 et 14 ans, Neige a été régulièrement violée par son beau-père. Elle livre un récit, entre autobiographie et essai. Je souhaite de tout mon cœur que cette œuvre, Triste Tigre, l’ait aidée, même si la lectrice que je suis n’y a pas trouvé son compte.
🖤🖤🖤🖤🖤 Les années douces d’Hiromi Kawakami est un roman curieux, d’abord par ses deux personnages principaux, des piliers de bar. Ensuite malgré la sobriété de l’écriture et la retenue des sentiments, il célèbre la douceur de vivre.
L’écrivain, qui raconte sa vie, mêle des éléments de fiction, il en fait une œuvre littéraire.
Et Annie Ernaux alors ? Elle fait bien de sa vie une œuvre littéraire ? Oui, mais elle reste au plus près de la réalité et elle réfute elle-même ce terme.
🖤🖤🖤🖤🖤 Gens de Dublin est un recueil de nouvelles, le premier ouvrage de James Joyce. Une façon pour moi de repousser la lecture de son chef-d’œuvre, Ulysse, très exigeante. Je le lirai certainement… un jour.
🖤🖤🖤🖤 Certes, Elena Standish fait partie du MI6, mais La mort sur la conscience d’Anne Perry est davantage un roman noir qu’un roman d’espionnage. Il tire sa force des tensions qui existent en Europe dans les années 1930.