🖤🖤🖤🖤🖤 La frontière se brouille entre littérature générale et mauvais genres (romans policiers et de science-fiction). Auprès de moi toujours de Kazuo Ishiguro ne fait pas exception, il s’agit d’une dystopie beaucoup plus littéraire que porteuse de leçons.
🖤🖤🖤🖤 Je n’ai pas trouvé dans Underground Railroad de Colson Whitehead, l’émotion que j’attendais. J’ai nettement préféré Nickel Boys du même auteur parce qu’il est tout aussi effroyable, mais beaucoup plus sobre. Les deux livres ont pourtant reçu un prix Pulitzer.
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Le jardin arc-en-ciel d’Ito Ogawa est rempli de délicatesse, de douceur, et même de bons sentiments. Est-ce pour cela qu’il m’a touchée ? Aussi, mais surtout parce qu’il décrit, derrière toute cette sensibilité, une réalité plus sombre qui ne cesse de frapper à la porte de cette attachante famille.
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Dans Pourquoi j’ai mangé mon père, Roy Lewis explique comment un père de famille pithécanthrope et ses fils ont découvert le feu, la cuisine, les vêtements et bien d’autres choses, quitte à jouer les apprentis sorciers. Un avertissement que l’humain n’a jamais pris au sérieux.
Les livres feel-good ou livres qui font du bien m’intéressent quand ils induisent un effet positif sur un sujet qui peut être sérieux ou dramatique. Vous trouverez donc peu de romans qui font rire ou sourire dans ma liste, et même parfois, des œuvres qui vous émouvront jusqu’aux larmes.
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Source de chaleur de Sôichi Kawagoe, au travers d’un profond humanisme, mets en avant des cultures menacées. J’ai beaucoup aimé en apprendre plus sur l’île de Sakhaline. Bien que la narration soit parfois confuse — mon manque de connaissance n’aidant pas —, Source de chaleur mérite d’être lu.
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Dans avec tes chaînes d’Anaëlle Jonah raconte l’histoire d’enfants maltraités par l’État français au XXe siècle, un passé qui mérite d’être découvert et qui prouve que rien n’est jamais acquis. La vigilance doit être constante.
J’avais déjà passé une commande pour mes petits-enfants, 10 livres pour 10 euros. Le résultat était moyen, mais à ce prix-là… Et franchement, c’est sympa d’avoir des livres disponibles quand ils viennent en vacances. Cette fois-ci, j’ai testé des livres pour moi.
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Jacaranda est le deuxième roman de Gaël Faye, il nous raconte le Rwanda d’après le génocide. Il fait partie des livres indispensables lorsqu’on veut essayer de comprendre, même si de tels massacres sont indicibles.
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Ce n’est pas parce qu’un livre est un chef-d’œuvre qu’il va forcément m’enthousiasmer. Il faut aussi que le thème me frappe. C’est le cas du livre de John Steinbeck, Les raisins de la colère.
J’aime beaucoup trouver de l’humour dans un genre où je ne m’y attends pas. Bien sûr, j’ai trouvé plus d’humour dans les cosy mysteries que chez Michael Connelly ou encore Annie Ernaux, mais sourire ou rire en lisant, quel bonheur.
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Patrick Modiano nous entraîne entre rêveries, fiction et réalité dans Chevreuse. Si vous aimez l’écrivain, foncez. Si vous ne le connaissez pas, vous pouvez lire celui-ci. La construction en forme de puzzle épouse la mémoire qui finit par éclaircir un mystère.
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L’agriculture a commencé à changer à la fin du siècle dernier. C’est ce que nous raconte Serge Joncour dans Nature humaine. Ce roman de terroir est intéressant par ses thèmes, en revanche, j’ai eu du mal à être convaincue par les personnages.
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Retrouvez votre âme d’enfant en lisant Le Grand Magasin des Rêves de Mi-ye Lee. Vous rejoindrez alors un monde merveilleux et vous saurez enfin ce que fait votre esprit pendant que vous dormez.
J’ai découvert la science-fiction par des recueils de nouvelles. Il m’en est resté le goût de ces histoires courtes, réalistes ou non, à chute ou non, mais toujours denses. Mon auteur préféré : Guy de Maupassant.