Le Grand Magasin des Rêves – Mi-ye Lee
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Retrouvez votre âme d’enfant en lisant Le Grand Magasin des Rêves de Mi-ye Lee. Vous rejoindrez alors un monde merveilleux et vous saurez enfin ce que fait votre esprit pendant que vous dormez.
Chroniques littéraires
Retrouvez ici tous mes avis sur les livres que j'ai lus depuis l'ouverture du blog.
Top 33 des meilleurs recueils de nouvelles
J’ai découvert la science-fiction par des recueils de nouvelles. Il m’en est resté le goût de ces histoires courtes, réalistes ou non, à chute ou non, mais toujours denses. Mon auteur préféré : Guy de Maupassant.
L’autre fille — Annie Ernaux
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Décidément, je passe à côté des récits courts d’Annie Ernaux. À l’exception d’une très belle scène au commencement de L’autre fille, j’ai toujours cette impression que l’autrice n’a rien à dire et qu’elle le fait dans un style plat
La reine des pommes — Chester Himes
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La reine des pommes de Chester Himes est un roman noir (très noir) et sarcastique, avec des personnages aussi loufoques qu’inquiétants. Ce chef-d’œuvre de la littérature policière mérite d’être lu et pas seulement pour l’intrigue.
Regardez-nous danser — Leïla Slimani
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Regardez-nous danser est le tome 2 de la saga familiale de Leïla Slimani, Le pays des autres. Après Mathilde et Amine, c’est au tour d’Aïcha et Selim de se lancer dans la vie, dans un Maroc postcolonial.
Le dit du mistral — Olivier Mak-Bouchard
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Le dit du Mistral d’Olivier Mak-Bouchard vous emmène en Provence, et vous fait découvrir un dieu inconnu. Comment ? Peut-être grâce à un orage, à moins que ce ne soit le chat qui ait provoqué les évènements, ou encore la source qui a eu envie de revivre.
L’affaire Saint-Fiacre — Georges Simenon
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L’intérêt du roman de Georges Simenon, L’affaire Saint-Fiacre ne se situe pas dans l’intrigue ni dans les personnages, mais dans le style de l’auteur et les descriptions marquantes d’un village d’Auvergne en 1930.
5 Sagas littéraires et 10 sagas familiales
Vous aussi, ils arrivent de vous passionner pour la vie de personnages et d’attendre avec impatience le tome suivant ? Et c’est avec regret que vous dites adieu aux personnages à la fin du dernier ouvrage ?
Les gens de Bilbao naissent où ils veulent — Maria Larrea
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Les gens de Bilbao naissent où ils veulent de Marie Larrea évoque la recherche de ses origines et l’immigration espagnole. Malheureusement, il ne m’a pas autant touchée que je l’attendais, peut-être parce que l’autrice a introduit une distance entre ses émotions et le lecteur.
Les délices de Tokyo — Durian Sukegawa
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Douceurs dans tous les sens du terme, c’est ce que vous propose Les délices de Tokyo de Durian Sukegawa, mais pas seulement. La sérénité de Tokue et sa détermination s’opposent à la dureté du Japon vis-à-vis des malades au XXe siècle.
L’inconnue du portrait — Camille de Peretti
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J’ai dévoré L’inconnue du portrait de Camille de Peretti parce que c’est un roman passionnant, qui m’a emmenée en Autriche au début du siècle dernier et aux États-Unis de nos jours. J’ai aussi aimé l’originalité du livre basé sur l’histoire d’un tableau de Gustav Klimt.
Littérature régionale et Romans de terroir
Ils sont ancrés dans leur territoire, parlent de leur histoire, des traditions ou tout simplement de la vie d’aujourd’hui ou d’autres fois. Vous connaissez certainement des auteurs tels que Georges-Emmanuel Clancier (Le pain noir), Christian Signol (La Rivière Espérance), Claude Michelet (Des grives au loup).
J’ai testé La Kube Majuscule
J’avais beaucoup aimé recevoir La Kube Originale qui propose un livre de poche choisi par un libraire (ou pas) et qui est accompagnée de jolies surprises. Mais si vous voulez faire un cadeau, ne vaut-il pas mieux un livre Grand Format ?
Messieurs, encore un effort — Elizabeth Badinter
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Messieurs, encore un effort… d’Elizabeth Badinter est un petit livre riche en questionnements sur la position de la femme et de la mère, en France, mais aussi en Asie. À lire parce que c’est une invitation à réfléchir. Et aujourd’hui plus que jamais.
La chambre de Giovanni — James Baldwin
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La chambre de Giovanni de James Baldwin est une œuvre ardue, non pas à cause de l’écriture, mais pour sa plongée dans un monde révolu et pour la description de sentiments complexes. J’aimerais pourtant me dire que cela n’existe plus, mais je n’en suis pas si certaine.