🖤🖤🖤🖤🖤 Les années douces d’Hiromi Kawakami est un roman curieux, d’abord par ses deux personnages principaux, des piliers de bar. Ensuite malgré la sobriété de l’écriture et la retenue des sentiments, il célèbre la douceur de vivre.
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Le jardin arc-en-ciel d’Ito Ogawa est rempli de délicatesse, de douceur, et même de bons sentiments. Est-ce pour cela qu’il m’a touchée ? Aussi, mais surtout parce qu’il décrit, derrière toute cette sensibilité, une réalité plus sombre qui ne cesse de frapper à la porte de cette attachante famille.
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Source de chaleur de Sôichi Kawagoe, au travers d’un profond humanisme, mets en avant des cultures menacées. J’ai beaucoup aimé en apprendre plus sur l’île de Sakhaline. Bien que la narration soit parfois confuse — mon manque de connaissance n’aidant pas —, Source de chaleur mérite d’être lu.
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Douceurs dans tous les sens du terme, c’est ce que vous propose Les délices de Tokyo de Durian Sukegawa, mais pas seulement. La sérénité de Tokue et sa détermination s’opposent à la dureté du Japon vis-à-vis des malades au XXe siècle.
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Les Belles Endormies de Yasunari Kawabata est un des romans les plus étranges que j’ai lus. Je n’ai pas été sensible ou je n’ai pas compris son message, malgré l’écriture somptueuse. Certes, l’univers est mystérieux, mais aussi dérangeant.
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Le restaurant de l’amour retrouvé est le premier ouvrage d’Ito Ogawa paru en France, peut-être son premier roman publié. Si j’y ai rencontré en germe la délicatesse de l’autrice, on est très loin de mon roman préféré, Le goûter du lion.
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Reine de cœur, le roman d’Akira Mizubayashi exploite les mêmes thèmes que son précédent livre. Je n’ai donc pas eu le même coup de cœur et pour cette raison, j’ai aimé, sans plus. Voyons ça dans les détails.
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Dans l’univers de 1Q84 de Haruki Murakami, apparences et réalité s’entremêlent, la frontière entre le réel et le fantastique s’estompe. Aomamé, tueuse éthique, et Tengo, écrivain en devenir, se rencontreront-ils ? Qui sont les mystérieux Little people ? À lire absolument.
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Nul doute que Kochan, un garçon frêle et chétif, renvoie à Yukio Mishima lui-même. Il a écrit ce livre à 24 ans. Il en a fallu du courage pour laisser tomber le masque et publier Confessions d'un masque dans le Japon conformiste de l’après-guerre.
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Au revoir les chats ! d’Hiro Arikawa est un recueil de sept nouvelles et bien sûr, elles comportent toutes des chats. Les histoires sont variées, souvent touchantes ou mignonnes, mais aussi tristes, attendrissantes sans oublier le fantastique qui s’invite dans un des récits.
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Première neige sur le mont Fuji regroupe six nouvelles de Yasunari Kawabata. Elles nécessitent un effort, une interprétation. Il n’y aurait pas l’écriture à la fois si poétique et si précise du prix Nobel de littérature 1968, je serais passée complètement à côté.
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Très différent de son précédent livre, Les mémoires d’un chat, Au prochain arrêt de Hiro Arikawa est un roman cosy. On s’y love pour suivre de courts moments de vie, comme si jonction ferroviaire signifiait aussi carrefour de l’existence.
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Parce que Suite inoubliable de Akira Mizubayashi a trop de points communs avec Âme brisée, je n’ai pas eu la surprise émerveillée du premier livre lu. Mais la lecture est fluide et agréable, malgré certains défauts. Rentrée littéraire 2023.
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Si vous craigniez que Kafka sur le rivage soit une œuvre difficile, donnez-lui une chance parce qu’elle l’est moins que je l’imaginais. Et même si les adjectifs onirique ou initiatique me font fuir, j’ai dévoré le livre d’Haruki Murakami
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J’ai retrouvé avec plaisir Hatoko dans la République du Bonheur d’Ito Ogawa, une lecture douce comme une méditation, pleine de leçons pour apprécier chaque moment de sa vie, la ralentir aussi. J’aimerais beaucoup qu’il y ait un nouveau tome.
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Azami, l’ombre du chardon est un livre trop court pour ne pas donner envie de lire les tomes suivants, il est aussi l’occasion de pénétrer dans la vie privée des Japonais.
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Un feel good ? La papeterie Tsubaki d’Ito OGAWA en est un, sans nul doute, mais il a quelque chose de particulier, il invite à choisir sa vie avec soin pour ne pas en laisser échapper une goutte.
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J’ai été tellement touchée par ce livre d’Ito Ogawa que j’ai eu du mal à choisir le livre suivant. Le goûter du Lion est à la fois bouleversant, rempli de sérénité et d’amour de la vie, des émotions que je n’attendais pas à la lecture de la quatrième de couverture.
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Ascenseur émotionnel : je suis passée du rire aux larmes et les « dingues de chat » me comprendront. Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa est un livre délicieux qui n’apprend rien, mais joue sur les émotions.
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Un recueil de nouvelles d’Haruki Murakami qui se savoure de la première à la dernière ligne, même si — et c’est la loi du genre — des histoires vous toucheront plus que d’autres. Musique, poésie, amours passées et nostalgie composent Première personne du singulier.
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Abandonner un chat d’Haruki Murakami est une flânerie parmi les souvenirs du narrateur, agrémentés des merveilleuses illustrations d’Emiliano Ponzi, ce qui en fait une lecture délicieuse.
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Tristesse et Beauté de Yasunari Kawabata résonne longtemps après que l’on a refermé la dernière page. Je n’ai pas pris plus que ça plaisir à le lire, mais ses personnages énigmatiques restent dans ma mémoire.
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Le roman d’un auteur japonais, couronné par un prix prestigieux (dont je n’avais jamais entendu parler, mais je connais peu la littérature japonaise) et un résumé qui évoque le harcèlement scolaire, il n’en fallait pas plus pour que je me décide à lire Okuribi Renvoyer les morts.
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Il y a des livres dont on parle moins que d’autres et c’est bien dommage. Heureusement, le Prix des libraires 2020, décerné à Akira Mizubayashi pour Âme brisée, permet à ce livre de trouver une nouvelle audience.