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L’accroche est alléchante, certes, quatre amis, trois filles, les douces et un garçon. Le garçon disparaît, son corps est retrouvé huit ans plus tard. Mais que ce livre m’a paru long. Je ne me suis pas intéressée aux personnages plus que ça.
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On sait peu de choses de la famille de Shakespeare, des dates de naissance, de mariage ou de décès, quelques rares documents légaux. En respectant ce peu d’information, Maggie O’Farrell raconte dans Hamnet leur vie telle qu’elle aurait pu être.
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Le Chambon-sur-Lignon de 1939 à nos jours
Le Chambon-sur-Lignon est lié à mon histoire familiale, différente de la belle histoire connue depuis pas si longtemps.
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Les enfants sont rois de Delphine de Vigan explore l’univers des enfants influenceurs ; un roman original et bien documenté. Malheureusement, l’émotion n’est pas au rendez-vous et la fin est convenue. Un livre qui aurait pu être plus captivant.
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Après avoir remporté le prix Pulitzer en 2017 pour Underground Railroad, Colson Whitehead a remporté un deuxième prix Pulitzer pour Nickel Boys. Il n’est que le quatrième écrivain à avoir accompli cet exploit.
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Connu pour ses livres pour jeune public, Roald Dahl a écrit The Gremlins (qui a inspiré Joe Dante, le réalisateur de Gremlins), Matilda ou encore Charlie et la chocolaterie.
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Les personnages de livres policiers ou de thrillers sont souvent caricaturaux. Je m’ennuie souvent à suivre les méandres et rebondissements. Un reproche que Rachel Abbott, l’auteur de Murder Game, n’encourt pas.
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Peut-être parce que Changement de décor date de 1975, peut-être parce que j’ai eu du mal à m’intéresser aux protagonistes, ou alors peut-être que j’ai été insensible à l’humour, toujours est-il que cet ouvrage ne m’a pas donné envie de lire la suite.
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Je suis partagée. Je n’ai pas vraiment compris le message de l’auteur. Pour une fois, j’aurais aimé que la fin de Femmes en colère reste ouverte, qu’elle laisse à chaque lecteur la possibilité de réfléchir et de décider de son verdict.
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D’Olivier Norek, j’avais beaucoup aimé Entre deux mondes, un livre policier ancré dans la réalité de la jungle de Calais. Il fallait que je lise Impact, ancré dans la problématique de l’écologie. Mais cette fois-ci, j’en savais plus sur le sujet, et le choc n’a pas été au rendez-vous.
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Que j’ai du mal avec les protagonistes qui ont tout pour eux et qui traînent leur désenchantement dans un livre. Certes, la vie de Paul Blick a été marquée par un drame quand il était enfant, mais le personnage d’Une vie française de Jean-Paul Dubois n’est assez profond pour que je m’y attache.
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Un titre alléchant, au sens propre et au sens figuré. J’ai adoré ce livre qui ne se prend pas au sérieux, normal, c’est un cosy mystery. La première qualité de Meurtres et Pépites de chocolat, et pas la moindre, c’est qu’à aucun moment, je n’ai deviné qui est l’assassin. Bien joué.
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Céleste Albaret, la gouvernante de Marcel Proust, a livré ses souvenirs en 1973, des souvenirs recueillis par Georges Belmont. Ils ont surpris. À aucun moment, la vieille dame n’a mentionné l’homosexualité de son patron ni ses visites dans des maisons closes.
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J’ai lu le livre d’Andreï Makine, L’ami arménien d’une traite et en une soirée, emportée par l’intrigue, les personnages, l’univers narratif et le style bien sûr. Ou peut-être par l’alchimie mystérieuse entre tous ces éléments, une alchimie dont il va être difficile de rendre compte.
