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Des personnages qui ne sont ni des gangsters, ni des policiers, non, rien de tout ça dans Petits secrets, grands mensonges de Liane Moriarty. Seulement des familles qui emmènent leurs enfants à l’école, point de rencontre des mamans et parfois des papas.
Laure Gombault a une plume sensible et ses personnages féminins sont en prise avec les difficultés de la vie d’aujourd’hui. Pourtant, leur originalité ou celle de leur parcours fait mouche chaque fois. Jamais de déjà-lu dans les livres de Laure.
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J’avais beaucoup aimé Stupeurs et Tremblements, lu quelques autres livres qui m’avaient plus ou moins convaincue et que j’ai oubliés depuis. Après avoir lu Soif, sur un sujet casse-gueule, j’ai eu envie de vérifier si je retrouvais le style primesautier d’Amélie Nothomb dans Les aérostats.
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J’ai savouré beaucoup de pages, je me suis un peu ennuyée pour certaines, mais heureusement, une nouvelle idée, un rebondissement inattendu relançait l’intérêt et je recommençais à savourer Les furtifs.
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Le roman d’un auteur japonais, couronné par un prix prestigieux (dont je n’avais jamais entendu parler, mais je connais peu la littérature japonaise) et un résumé qui évoque le harcèlement scolaire, il n’en fallait pas plus pour que je me décide à lire Okuribi Renvoyer les morts.
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Les Bourgeois, le nom propre, patronymique, pas le nom commun bourgeois, encore que l’épithète leur aille comme un gant. Une fresque d’Alice Ferney qui se développe sur le siècle avec de multiples personnages, tous façonnés d’une façon ou d’une autre par la même éducation.
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C’était un sujet majeur pendant l’âge d’or de la science-fiction. Une civilisation extra-terrestre plus avancée que la nôtre envoyait des émissaires sur la terre, avec des intentions plus ou moins bienveillantes. Cette fois-ci, ce sont Nos frères inattendus.
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J’ai été attirée par le sujet, une jeune femme élevée dans une tradition catholique extrémiste, l’histoire de son émancipation.
Je n’ai pas tout à fait trouvé ce que j’attendais dans Bénie soit Sixtine.
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Quel plaisir, un livre avec une si remarquable intensité dramatique ! Je n’ai pas lâché Le reflet du thé. Avant de commencer ma chronique, une mention pour le beau (et pertinent) titre qui vient de la façon dont la protagoniste vise ses ennemis.
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Les personnages d’Olivier Adam évoluent assez peu, c’est aussi le cas dans Des vents contraires. Il peut leur arriver la pire des choses sans qu’ils bougent d’un pouce. Forcément, ce très bon écrivain ne fait pas partie de mes auteurs préférés.
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Un roman historique, attaché aux faits, mais aussi aux personnages qui ont provoqué ou subi l’attentat.
On apprend un moment d’histoire oublié et on lit Never Mind avec plaisir.
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Il y a des livres dont on parle moins que d’autres et c’est bien dommage. Heureusement, le Prix des libraires 2020, décerné à Akira Mizubayashi pour Âme brisée, permet à ce livre de trouver une nouvelle audience.
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Avant que j’oublie, publié en 2019, qui a reçu plusieurs prix (le prix du Livre Inter 2020, le prix Envoyé par la Poste 2019, le prix Summer 2020) et qui revient, l’air de rien dans les meilleures ventes du mois d’août 2020.
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Un roman ? Pas vraiment. Un texte plutôt, ou alors un poème, une chanson rythmée par le début de chaque chapitre : Je m’appelle Fatima Daas, mais ça, je pense que vous le savez déjà, on a beaucoup parlé de La petite dernière.
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Difficile de résister à la présentation du livre de Julien Dufresne-Lamy Mon père, ma mère, mes tremblements de terre :
« Dans cette salle, Charlie, quinze ans, patiente avec sa mère. D’ici cinq heures, son père sortira du bloc. Elle s’appellera Alice. »