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Tous les livres de Michael Connelly sont excellents, mais L’innocence et la loi mérite un coup de cœur, à la fois pour cette plongée au sein de la justice américaine et pour le rythme haletant du livre.
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L’amant de Marguerite Duras est une lecture envoûtante par le style et par le mystère qui entoure la petite fille (quinze ans et demi) et ses pensées. L’amant est moins énigmatique, tout à sa passion pour la jeune fille.
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Au printemps des monstres ne se lit pas facilement, malgré le style plus qu’agréable de l’auteur et son remarquable sens de la narration : Philippe Jaenada a rendu accessible une affaire dont le dossier pesait 19,5 kilogs, avant les recherches entreprises par l’auteur et par ceux qui l’ont devancé.
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Un roman policier qui nous entraîne quelques siècles en arrière apporte toujours un petit plus au lecteur. L’assassin de la rue Voltaire nous fait remonter le temps jusqu’en 1789, août 1789 pour être plus précis. C’est le troisième tome de la série Le loup des Cordeliers.
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Je me méfie des livres édités longtemps après la mort d’un auteur. Ce sont souvent des fonds de tiroir qui sont décevants au regard des œuvres que j’ai aimées. J’ai cependant été bluffée par La Poupée, un recueil de nouvelles, écrites par la jeune Daphné du Maurier.
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Neuf parfaits étrangers est une satire de l’obsession de la recherche du bien-être et des excès de certains coachs. J’ai savouré ce roman de Liane Moriarty, ses personnages improbables, mais attachants, aux prises avec une gourou du bien-être, complètement tordue.
Voici plusieurs années maintenant que j’ai rencontré Jacqueline Lefort à une séance de dédicaces. Ses romans de terroir, appuyés sur de profondes recherches, m’ont tout de suite séduite. Noël approchant, un de ses livres fera le bonheur d’un de vos proches lecteurs.
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Lire La retraite sentimentale, c’est entrer dans un monde où les jours s’étirent pour laisser la place à des descriptions vivantes et sensuelles, d’un sous-bois, d’un feu de cheminée ou de comportements animaliers.
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C’est une histoire un peu oubliée que raconte Christophe Donner dans La France Goy : la montée de l’antisémitisme au tournant du XIXe siècle et du XXe siècle. Un livre qui ravira les amateurs d’histoire, avec quelques réserves quand même.
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Le crépuscule et l’aube se déroule environ un siècle avant le début du premier tome de la série Les piliers de la terre, un des meilleurs romans historiques jamais écrits. Le tome suivant Un monde sans fin m’avait plu, mais sans plus, le troisième tome Une colonne de feu m’avait carrément déçue.
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Est-ce que La porte du voyage sans retour de David Diop m’a particulièrement touchée ? Non. Est-ce que j’ai appris quelque chose ? Non plus. Est-ce que ça en fait un mauvais livre ? Pas davantage. Un bon livre, certes, mais qui n’apporte pas grand-chose au lecteur et surtout pas d’émotion.
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S’il est difficile d’entrer dans Crazy Horse de Mari Sandoz, il est tout aussi difficile d’en sortir. Je me suis laissée porter par la vie des Indiens Lakotas même si j’ai souvent regretté qu’aucun petit encadré ne situe le contexte historique et indique le nom du président des États-Unis de l’époque.
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C’est, paraît-il, un bon cru. Je le confirme. Mais est-ce que j’ai retrouvé le plaisir de lecture de Stupeurs et tremblements ? Non. Premier sang plaira aux fans d’Amélie Nothomb pour son écriture, sa légèreté et sa facilité de lecture, mais il reste superficiel, même si, après tout, c’est un conte.
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Je me suis beaucoup indignée en lisant La Familia grande et j’ai compris beaucoup de choses, en particulier comment l’amour que la victime porte à son agresseur emporte son consentement… et sa propre destruction.
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Le livre, Les grandes familles, dépeint les milieux financiers entre les deux guerres. Dans ce premier tome d’une trilogie, les turpitudes des puissants de ce monde ressemblent à ce que nous lisons trop souvent dans les journaux et n’étonneront pas le lecteur.