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Lire Héritage, c’est retrouver le réalisme magique cher au cœur des écrivains sud-américains, mais si l’écriture est somptueuse et la narration parfaitement maîtrisée, j’ai regretté le manque de profondeur des personnages.
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Un livre de Philip Roth qui restera dans ma mémoire grâce à une longue plongée dans la culture américaine, mais que j’ai trouvé un peu ennuyeux à cause de multiples digressions. Les personnages de La tache sont aussi parfois difficiles à appréhender.
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C’est drôle, c’est noir, touchant aussi, bourré d’humanité. Petiote de Benoît Philippon, encore un livre que j’ai regretté d’avoir fini, mais après avoir lu Mamie Luger, il me reste Cabossé à lire du même auteur.
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Des thèmes passionnants et parfois mal connus confèrent au livre d’Anna Hope, La salle de bal son originalité. Malheureusement, à cause de personnages passifs et d’une intrigue plate, le roman ne m’a pas convaincue.
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Fan inconditionnelle de Michael Connelly en général et de Harry Bosch en particulier, j’ai été un peu déçue par Séquences mortelles qui met en scène le journaliste Jack McEvoy (Le poète).
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Question : comment fait Melissa Da Costa pour nous convaincre que la vie est belle alors que, dès le début du livre, un jeune homme de vingt-six ans est condamné à mourir et qu’une jeune femme peine à se remettre de ce qui lui est arrivé ?
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Les recruteurs racontent l’histoire de Charifa partie rejoindre l’État Islamique et celle de la bataille de Falloujah en mai 2016 (un récit de l’intérieur). J’ai aimé le thème, mais j’ai regretté les longues ellipses et une écriture qui manque de fluidité.
Les couples mixtes, franco-allemands, pendant la Deuxième Guerre mondiale constituent un thème peu évoqué par les romanciers et encore moins dans un livre qui ne se lâche pas.
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Le style d’Ivan Bounine émerveille et son écriture lyrique m’a passionnée suffisamment pour que je m’intéresse à l’amour d’un jeune homme inconnu pour qui rien d’autre n’existe que son aimée. L’amour de Mitia, un coup de cœur.
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Ascenseur émotionnel : je suis passée du rire aux larmes et les « dingues de chat » me comprendront. Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa est un livre délicieux qui n’apprend rien, mais joue sur les émotions.
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La saga des Cazalet est une saga familiale composée de 5 tomes. Le premier tome, Été anglais, long et descriptif m’a laissée dubitative. J’ai bien fait de persévérer, les autres volumes sont addictifs grâce à des personnages bien campés.
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Bien sûr, L’amant de la Chine du Nord de Marguerite Duras, comporte des indications cinématographiques, mais c’est avant tout une réécriture de L’amant, avec plus de précisions.
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Bien sûr, il y a l’intrigue policière et toutes les questions qui attendent des réponses. Mais c’est loin d’être la seule raison pour laquelle j’ai dévoré L’horizon d’une nuit de Camilla Grebe.
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Un roman glauque, pervers qui n’aurait aucun intérêt si Joyce Carol Oates n’avait pas traité le thème de façon subtilement onirique. Délicieuses pourritures se lit lentement, pour que le lecteur se laisse imprégner de son atmosphère.
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Des personnages que vous ne croiserez jamais dans la vie réelle (et heureusement !), que vous aurez du mal à prendre au sérieux — même s’ils sont lourdement armés — parce qu’ils vous amuseront, et dans le cas de Mamie Luger, parce qu’ils vous émouvront aussi.