🖤🖤🖤🖤🖤 Gens de Dublin est un recueil de nouvelles, le premier ouvrage de James Joyce. Une façon pour moi de repousser la lecture de son chef-d’œuvre, Ulysse, très exigeante. Je le lirai certainement… un jour.
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En mêlant magie noire et réalisme, Le Maître et Marguerite, offre une satire du régime stalinien et une réécriture du Faust de Goethe. J’ai aimé les personnages excentriques, l’intrépide Marguerite ou encore les sinistres et facétieux acolytes du diable.
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Chaque année au mois d’août, Ana Magdalena entreprend un voyage rituel sur une île. Cette année-là, quand commence Nous nous verrons en août, le rituel dérape. Malgré une fin énigmatique, j’ai aimé le personnage d’Ana Magdalena et l’écriture envoûtante de Gabriel García Márquez.
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La cloche d’Islande est un des livres les plus connus d’Halldór Laxness, prix Nobel de littérature 1955. C’est un roman long, foisonnant et exigeant. Il y décrit, au travers de trois personnages principaux, la vie en Islande au XVIIIe siècle.
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Si vous aimez les Vikings, pourquoi ne pas lire une des sagas nordiques qui raconte leur histoire ? Si La saga d’Egil, probablement écrite pas Snorri Sturluson, n’est pas des plus captivantes, elle a le mérite d’avoir été rédigée au XIIIe siècle, quelque 200 ans après les aventures d’Egil, poète et guerrier.
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Le lièvre de Vatanen décrit les aventures d’un homme qui quitte tout pour partir avec un lièvre apprivoisé. À la fois drôle et dramatique, il me restera sans nul doute en mémoire.
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Amok ou le fou de Malaisie est un recueil de trois nouvelles si sombres, si étranges qu’elles en deviennent irréalistes. Un livre loin d’être un de mes préférés de Stefan Zweig.
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Soré, le livre de Jørn Riel m’a déroutée, sans doute parce qu’il est rare de s’immerger dans la culture inuite. Je l’ai terminé en pensant qu’il fallait que j’en lise d’autres pour mieux comprendre et apprécier.
Je dois avouer que Le joueur, ce livre aux personnages excessifs qui vont droit à la catastrophe et en toute irrationalité m’a laissée perplexe. Je dois être beaucoup trop rationnelle pour apprécier.
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Le Guépard de Giuseppe Tomasi di Lampedusa retrace le lent déclin d’une famille sicilienne. D’une facture très classique, il comporte des personnages inoubliables.
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De courts romans qui abordent tellement de thèmes qu’elles en sont déroutantes et qu’elles demandent réflexion. Au cœur des histoires des livres, Le joueur d’échecs, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme ou encore La confusion des sentiments, Stefan Zweig parle de passions exacerbées, qui deviennent addiction, maladie ou folie et qui figurent la réalité du monde dans lequel il vivait.
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Le vieux qui lisait des romans d’amour est un livre trop court pour susciter chez moi l’émotion qu’il mérite. J’aurais apprécié plus de pages sur les Shuars, en tout cas davantage qu’avec les colons qui n’ont rien de sympathique.
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Le style d’Ivan Bounine émerveille et son écriture lyrique m’a passionnée suffisamment pour que je m’intéresse à l’amour d’un jeune homme inconnu pour qui rien d’autre n’existe que son aimée. L’amour de Mitia, un coup de cœur.
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Sigrid Undset, prix Nobel de littérature 1928, est un auteur bien oublié aujourd’hui, au point que peu de titres sont disponibles en librairie. En janvier 2022, l’éditeur Cambourakis republiera Jenny. Maternités est introuvable, sauf en livre d’occasion ou sur Gallica.
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Est-ce que c’est pareil pour vous ? Il peut m’arriver de ne pas retrouver l’enthousiasme d’un ouvrage que j’avais apprécié à la première lecture. En revanche, un livre qui ne m’a pas emballée ne me séduit pas plus des années plus tard.
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J’avais lu Quo Vadis d’Henryk Sienkiewicz, prix Nobel de littérature 1905 il y a longtemps et j’avais beaucoup aimé. Des décennies après (eh oui !), force est de constater que l’enthousiasme est retombé.