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C’est la quatrième de couverture qui m’a décidée à lire Les lettres d’Esther : un atelier d’écriture épistolaire, cinq élèves et Esther. Au gré des exercices, ils se racontent leurs fêlures, leurs envies ou leurs interrogations.
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Une bonne idée d’avoir sorti Blanche Peyron de l’oubli, une autre bonne idée d’avoir retracé l’histoire du Palais de la Femme, et pour finir avec les bonnes idées, confronter ces histoires avec celle d’une avocate en plein burn-out en est une aussi.
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Voilà un pavé qui a beaucoup plu. Il ne m’en fallait pas moins pour décider de acheter Le gang des rêves et de le lire. Est-ce que ma chronique va être aussi bonne que ces critiques élogieuses ? Non.
Mais que ça ne vous empêche pas de faire votre propre opinion.
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Lorsqu’on a beaucoup aimé le livre d’un auteur (L’amie prodigieuse), on attend avec impatience le suivant. Au risque d’être déçu. J’aurais aimé vous dire que cette fois-ci, ça n’a pas été le cas mais j’ai été déçue par La vie mensongère des adultes d’Elena Ferrante.
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Que donne un livre quand le narrateur filtre la vie de son personnage à travers un prisme unique, celui de son origine paysanne ?
Le résultat manque de cohérence, tant on passe d’un sujet à un autre, Les pays de Marie-Hélène Lafon, une lecture monotone.
Pas de note
La version du livre d’Annie Ernaux que j’ai lue contient un dossier. Parce que le livre est trop court ? Parce qu’on inflige la lecture de La place à des ados ?
Sérieux ?
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Laure Gombault raconte l’histoire d’une femme prise au piège, par L’homme du train.
Un piège qu’elle connaît bien… chez les autres. Elle le rencontre quotidiennement dans sa vie professionnelle. Et pourtant…
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Le soleil des Scorta explore une terre de secrets et de malédiction. Le livre de Laurent Gaudé suit le destin de la famille de Rocco, entre tragédie et amour dans un village poussiéreux des Pouilles, Montepuccio.
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Comment rendre compte de ce livre dont le thème, traité de façon légère, est d’une tristesse infinie ? Beaucoup y voient l’amour inconditionnel d’un fils pour sa mère.
Certes, mais c’est plutôt l’amour de la mère pour son fils qui pose problème, La promesse de l’aube, Romain Gary.
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“… un roman qui parle du temps et de ses effets sur chacun d’entre nous.”
Un roman que j’ai acheté parce que Julian Fellowes est le créateur de Downtown Abbey, série dont je suis une grande fan. Que vaut Passé imparfait ?
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Je lis peu de chick lit (romans écrits par des femmes pour des femmes). Le journal de Bridget Jones m’a fait sourire, mais pas au point de lire les suivants.
Je fais exception pour Sophie Kinsella. J’ai donc lu À charge de revanche.
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J’ai un point commun avec Nelly Alard : tous les livres sur Elizabeth d’Autriche qu’elle cite, ou presque, sont dans ma bibliothèque, même si je n’ai pas lu le dernier livre entré sur mes étagères. Pas question alors de rater La vie que tu t’étais imaginée.
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Je n’avais pas lu de livres d’Isabel Allende depuis longtemps. Après avoir été surprise et séduite par La maison aux esprits, je n’avais pas été aussi enthousiasmée par les autres ouvrages. Plus loin l’hiver est l’occasion de redécouvrir cet auteur.
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En des temps normaux, je croise Jacqueline Lefort à une séance de dédicace, l’occasion d’échanger quelques mots avec cette autrice chambonnaise.
Y aura-t-il des séances de dédicace cette année pour D'Ambre et de lumière ?
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Un auteur dont on a beaucoup parlé pour son dernier livre : Les choses humaines.
J’ai trouvé ce livre dans la librairie solidaire où je suis bénévole.
J’ai eu envie de tester Six mois, six jours de Karine Tuil.
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Ce livre m’a laissée perplexe. Les enfants après eux est bien écrit, se lit facilement. Mais…
Pourquoi les personnages de Nicolas Mathieu sont-ils aussi caricaturaux ? Pas forcément un prix Goncourt qui restera dans les annales, donc.
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De Delphine de Vigan, j’avais beaucoup aimé D’après une histoire vraie, beaucoup moins No et moi. Les gratitudes est un livre tendre sur la fin de vie, avec des personnages attachants. Un livre court qui se lit rapidement.
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Quand on a du talent, ça peut se traduire indifféremment en musique ou en littérature. Je vous parle du livre, mais Gaël Faye a aussi écrit une sublime chanson qui porte le même nom, Petit pays.
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Jean-Christophe Rufin écrit beaucoup. Beaucoup et des livres inégaux.
À ce jour, Le collier rouge est un de mes préférés.
Une histoire violente et tendre.
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Été 1991. Dans un quartier de Brooklyn, des émeutes éclatent entre deux communautés. C’est dans ce climat que Colombe Schneck raconte une histoire d’amour entre un professeur américain et une jeune Parisienne, nuits d’été à Brooklyn.
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Il y a les livres qu’on aime et puis il y a ceux qu’on n’oublie pas.
Parmi les livres marquants, qu’on n’oublie pas : L’art de perdre d’Alice Zeniter
Certainement une de mes meilleures lectures de l’année.