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Faut-il vivre sa vie ou la rêver ?
L’auteur part d’une situation particulière, une jeune femme musulmane homosexuelle, pour en faire une histoire aux thèmes universels : femme et religion, amours contrariées et désirs d’enfant.
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La quatrième de couverture de Mon mari parle d’un livre d’une irrésistible drôlerie. Je ne dois pas avoir le même sens de l’humour. En revanche, j’ai adoré la double chute que je n’avais pas vue venir.
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Le Soudan du Sud, l’aide humanitaire et ses compromis, les journalistes et les risques insensés pris pour témoigner sont les composants de Sous le sol de coton noir, un livre de Paul Duke, coup de poing nécessaire pour aller au-delà des chiffres et des mauvaises nouvelles annoncées par les journaux télévisés.
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La vie religieuse dans des couvents — dont les buts ont été heureusement modifiés — au milieu du XXe siècle est un sujet attractif. Mais n’est pas Denis Diderot qui veut, je n’ai pas compris grand-chose à l’histoire racontée dans Sous le voile.
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Le passeur de Stéphanie Coste explore les méandres de l’âme d’un passeur cynique et l’impitoyable réalité des migrants sur les rivages de la Libye. L’histoire, où espoir et désespoir se côtoient, est magnifiée par le style puissant de l’autrice.
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D’abord, j’ai été intriguée par ce qui se disait sur La plus secrète mémoire des hommes, de quoi me donner envie de le lire. Ensuite, j’ai soupiré sur les 50 premières pages, encore 400 pages comme ça ? C’était ennuyeux, malgré le très beau style. Enfin, le livre démarre.
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Comment un être humain peut-il se détester à ce point ? Au point de haïr tous ceux qui lui ressemblent et de passer à côté de sa vie ? Seul un immense écrivain peut arriver à rendre crédible une sombre histoire où le nœud de vipères n’est autre que le cœur de Louis, un vieillard malade.
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Même si les qualités de La fille qu’on appelle sont réelles, j’ai eu quelques difficultés à le lire, le style de l’auteur m’a bloquée (oui, j’aime les styles sobres et fluides).
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Je me suis inscrite à un Challenge avec un objectif modeste, découvrir les auteurs que je ne connaissais pas, et puis de belles trouvailles en belles trouvailles, les envies de relecture sont venues.
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Brèves de solitude ressemble plus à un exercice de style qu’à un roman. Un ouvrage qui a peut-être passionné davantage l’écrivain, Sylvie Germain, que le lecteur.
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L’amant de Marguerite Duras est une lecture envoûtante par le style et par le mystère qui entoure la petite fille (quinze ans et demi) et ses pensées. L’amant est moins énigmatique, tout à sa passion pour la jeune fille.
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Lire La retraite sentimentale, c’est entrer dans un monde où les jours s’étirent pour laisser la place à des descriptions vivantes et sensuelles, d’un sous-bois, d’un feu de cheminée ou de comportements animaliers.
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Est-ce que La porte du voyage sans retour de David Diop m’a particulièrement touchée ? Non. Est-ce que j’ai appris quelque chose ? Non plus. Est-ce que ça en fait un mauvais livre ? Pas davantage. Un bon livre, certes, mais qui n’apporte pas grand-chose au lecteur et surtout pas d’émotion.
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C’est, paraît-il, un bon cru. Je le confirme. Mais est-ce que j’ai retrouvé le plaisir de lecture de Stupeurs et tremblements ? Non. Premier sang plaira aux fans d’Amélie Nothomb pour son écriture, sa légèreté et sa facilité de lecture, mais il reste superficiel, même si, après tout, c’est un conte.
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Le livre, Les grandes familles, dépeint les milieux financiers entre les deux guerres. Dans ce premier tome d’une trilogie, les turpitudes des puissants de ce monde ressemblent à ce que nous lisons trop souvent dans les journaux et n’étonneront pas le lecteur.
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C’est un livre qui m’a moyennement plu, mais qui m’a donné envie de lire d’autres ouvrages de l’auteur. Bien sûr, S’il n’en reste qu’une, un hommage fort aux hommes et aux femmes kurdes qui ont lutté contre les islamistes a de quoi émouvoir, mais le parcours de la journaliste m’a semblé artificiel et sans grand d’intérêt.
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Lire Le chant du monde, c’est plonger dans un style flamboyant à l’extrême, dans une nature fantasmée et dans des dialogues parfois mystérieux. Alors que Regain est un des livres que j’emporterais sur une île déserte.
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Après avoir lu de bonnes critiques et de mauvaises aussi, j’ai hésité à lire 907 fois Camille de Julien Dufresne-Lamy. J’ai beaucoup aimé ce livre en réalité, mais je comprends que cet OLNI (Objet Lecture Non Identifié) puisse repousser.
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Entrer dans le milieu très fermé de l’armée française, c’est une occasion inespérée. L’embuscade nous fait vivre le quotidien d’une femme de militaire qui vient d’apprendre la disparition de son mari.
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Après avoir lu La carte postale d’Anne Berest et après avoir été séduite par les relations entre les deux sœurs, j’ai eu envie de lire Artifices de Claire Berest. Et bien m’en a pris, dans un tout autre registre (le thriller) que le livre de sa sœur, Artifices mérite sa présence à la rentrée littéraire.
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Un livre bien écrit suffit-il à capter le lecteur ? L’évanouissement de Marie est bien écrit. Hélas ! J’ai peiné à m’y intéresser, le personnage principal est difficile à cerner, et je n’ai pas compris ses réactions.
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À une époque où disparaissent les derniers témoins des atrocités commises par les nazis, des enfants ou petits-enfants interrogent leur filiation. Sorj Chalandon s'interroge sur le rôle d’un père « qui était du mauvais côté » pendant la Seconde Guerre mondiale.
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Que signifie être juif en 2021 ? Dans La carte postale Anne Berest répond que c’est être le descendant d’une famille disparue dans les camps de concentration. Elle explique aussi que c’est d’être perçue de façon différente — évidemment pas toujours bienveillante.
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Hommage à un ami, Bakhtiyar Haddad, hommage aux victimes du Bataclan, hommages aux syriens et aux Irakiens qui ont combattu les armes à la main, belle intention pour L’homme qui riait sous les bombes mais une belle intention fait-elle un bon livre ?