Littérature française contemporaine

Retrouver ici tous les romans contemporains chroniqués sur le site. Si j’ai donné mon avis sur plusieurs livres d’un auteur, cliquez sur le nom (en bleu) pour lire les autres articles.

En arrière-plan, un bébé fille et au premier plan, le livre de Camille Froidevaux-Metterie, Pleine et douce

Pleine et douce — Camille Froidevaux-Metterie

🖤🖤🖤🖤 Pleine et douce n’est pas qu’un roman, il est un moyen de parler de choses dont on parle peu, bref, tout sauf un moment de détente. Il y a de très bonnes choses, de moins bonnes, d’autres discutables, mais qui ne doivent en rien empêcher de le lire pour le thème très fort du livre.
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En arrière-plan, une jeune femme, et au premier plan, la couverture du livre de Jacqueline Lefort, Les tourments du passé.

Les tourments du passé — Jacqueline Lefort

🖤🖤🖤🖤🖤 Les tourments du passé de Jacqueline Lefort, un roman qui vous plongera à la fin du XIXe siècle, à une époque où la République et la laïcité sont loin d’être une évidence pour tout le monde. Vous retrouverez avec plaisir les personnages de La rivière écarlate, mais le livre peut se lire indépendamment.
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En arrière plan, une mariée et deux garçons qui se tiennent par la main. Au premier plan, la couverture du livre de Sophie de Baere, Les ailes collées.

Les ailes collées — Sophie de Baere

🖤🖤🖤 J’avoue, j’ai cédé à la tendance en empruntant Les ailes collées à la médiathèque. Mais c’est une déception parce que, malgré une belle écriture, il n’y a rien de ce que j’aime : apprendre quelque chose, réfléchir, des personnages profonds et de l’espoir, même si la vie parfois vous enlève tout.
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En arrière-plan, une femme médecin, au premier plan, la couverture du livre de Martin Winckler, Le chœur des femmes

Le chœur des femmes — Martin Winckler

🖤🖤🖤 J’ai aimé en apprendre plus sur certains aspects médicaux grâce au livre Le chœur des femmes de Martin Winckler, mais ce roman n’a pas les qualités littéraires que j’attends. Ceci étant dit, j’ai lu ce livre paru en 2009 avec ma vision de la médecine de 2023, je ne suis donc pas très objective.
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Un arbre généalogique en arrière-plan, la couverture du livre de Dorothée Janin, La révolte des filles perdues au premier plan.

La révolte des filles perdues — Dorothée Janin

🖤🖤🖤 S’il y a une quantité presque infinie de livres sur la Deuxième Guerre mondiale, les années qui suivent sont souvent oubliées. C’est le grand intérêt du livre de Dorothée Janin, La révolte des filles perdues, de comprendre un peu mieux les hiérarchies de valeurs de cette année-là.
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En arrière-plan, un peintre de la Renaissance en train de peindre. Au premier plan, la couverture du Livre de Laurent Binet, Perspectives(s)

Perspective (s) — Laurent Binet

🖤🖤🖤🖤 Nul doute que Perspective (s) constitue un exploit littéraire. L’histoire avance au gré de lettres écrites par plusieurs personnes, dans un style que l’on reconnaît comme celui des siècles passés. Mais est-ce que le roman policier de Laurent Binet a fait le bonheur de la lectrice que je suis ? Pas tout à fait.
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En arrière-plan, des violes, et au premier plan, la couverture du livre de Pascal Quignard, Tous les matins du monde

Tous les matins du monde — Pascal Quignard

🖤🖤🖤 Tous les matins du monde est l’apprentissage romancé du violiste Marin Marais auprès de son maître, Jean de Sainte-Colombe. Un livre décevant, tant au regard des personnages à peine esquissés, qu’à l’écriture trop sèche. Une œuvre qui risque de ne pas vous donner envie d’écouter de la musique baroque.
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Une femme du XIXe siècle en arrière-plan et au premier plan, la couverture du livre de Marie-Bernadette Dupuy, Les amants du presbytère

Les amants du presbytère — Marie-Bernadette Dupuy

🖤🖤🖤🖤 Les amants du presbytère correspond à ma définition du roman de gare, acheté en vitesse, lu d’une traite dans un train ou dans un avion et abandonné sur le siège. Un roman qui a fait le job : vous distraire le temps d’un voyage, mais sans émouvoir ni donner à réfléchir.
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