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Oui, c’est un bon livre auquel j’ai mis une bonne note parce que le traitement du thème est original, qu’il est superbement écrit. J’ai pourtant peu apprécié ma lecture, n’arrivant pas à trouver crédible la réaction du fils aîné ou de certains autres personnages.
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Avec Le Grand Monde, j’ai voyagé de Beyrouth à Saïgon en Indochine, en passant par Paris. J’ai suivi les péripéties des membres de la famille Pelletier, dont les drames personnels se mêlent aux évènements historiques. Et toujours l’écriture subtile et ironique de Pierre Lemaitre.
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Si le contenu d’un livre vous indiffère pourvu que le style soit bon, vous aimerez Le Premier Exil, mais, si le contenu du livre a quelque importance pour vous, épargnez-vous cette lecture, bien loin de l’excellent Le ghetto intérieur, du même auteur, Santiago H. Amigorena.
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Difficile de surnager pendant la rentrée littéraire, en 2021, les livres forts y ont été nombreux. La définition du bonheur est un bon livre, mais banal et fade, sans aspérités auxquelles se raccrocher malgré tous les thèmes abordés.
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Faut-il vivre sa vie ou la rêver ?
L’auteur part d’une situation particulière, une jeune femme musulmane homosexuelle, pour en faire une histoire aux thèmes universels : femme et religion, amours contrariées et désirs d’enfant.
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La quatrième de couverture de Mon mari parle d’un livre d’une irrésistible drôlerie. Je ne dois pas avoir le même sens de l’humour. En revanche, j’ai adoré la double chute que je n’avais pas vue venir.
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Le Soudan du Sud, l’aide humanitaire et ses compromis, les journalistes et les risques insensés pris pour témoigner sont les composants de Sous le sol de coton noir, un livre de Paul Duke, coup de poing nécessaire pour aller au-delà des chiffres et des mauvaises nouvelles annoncées par les journaux télévisés.
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La vie religieuse dans des couvents — dont les buts ont été heureusement modifiés — au milieu du XXe siècle est un sujet attractif. Mais n’est pas Denis Diderot qui veut, je n’ai pas compris grand-chose à l’histoire racontée dans Sous le voile.
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Le passeur de Stéphanie Coste explore les méandres de l’âme d’un passeur cynique et l’impitoyable réalité des migrants sur les rivages de la Libye. L’histoire, où espoir et désespoir se côtoient, est magnifiée par le style puissant de l’autrice.
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D’abord, j’ai été intriguée par ce qui se disait sur La plus secrète mémoire des hommes, de quoi me donner envie de le lire. Ensuite, j’ai soupiré sur les 50 premières pages, encore 400 pages comme ça ? C’était ennuyeux, malgré le très beau style. Enfin, le livre démarre.
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Même si les qualités de La fille qu’on appelle sont réelles, j’ai eu quelques difficultés à le lire, le style de l’auteur m’a bloquée (oui, j’aime les styles sobres et fluides).
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Brèves de solitude ressemble plus à un exercice de style qu’à un roman. Un ouvrage qui a peut-être passionné davantage l’écrivain, Sylvie Germain, que le lecteur.
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Est-ce que La porte du voyage sans retour de David Diop m’a particulièrement touchée ? Non. Est-ce que j’ai appris quelque chose ? Non plus. Est-ce que ça en fait un mauvais livre ? Pas davantage. Un bon livre, certes, mais qui n’apporte pas grand-chose au lecteur et surtout pas d’émotion.
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C’est, paraît-il, un bon cru. Je le confirme. Mais est-ce que j’ai retrouvé le plaisir de lecture de Stupeurs et tremblements ? Non. Premier sang plaira aux fans d’Amélie Nothomb pour son écriture, sa légèreté et sa facilité de lecture, mais il reste superficiel, même si, après tout, c’est un conte.
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C’est un livre qui m’a moyennement plu, mais qui m’a donné envie de lire d’autres ouvrages de l’auteur. Bien sûr, S’il n’en reste qu’une, un hommage fort aux hommes et aux femmes kurdes qui ont lutté contre les islamistes a de quoi émouvoir, mais le parcours de la journaliste m’a semblé artificiel et sans grand d’intérêt.
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Après avoir lu de bonnes critiques et de mauvaises aussi, j’ai hésité à lire 907 fois Camille de Julien Dufresne-Lamy. J’ai beaucoup aimé ce livre en réalité, mais je comprends que cet OLNI (Objet Lecture Non Identifié) puisse repousser.
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Entrer dans le milieu très fermé de l’armée française, c’est une occasion inespérée. L’embuscade nous fait vivre le quotidien d’une femme de militaire qui vient d’apprendre la disparition de son mari.
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Après avoir lu La carte postale d’Anne Berest et après avoir été séduite par les relations entre les deux sœurs, j’ai eu envie de lire Artifices de Claire Berest. Et bien m’en a pris, dans un tout autre registre (le thriller) que le livre de sa sœur, Artifices mérite sa présence à la rentrée littéraire.
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Un livre bien écrit suffit-il à capter le lecteur ? L’évanouissement de Marie est bien écrit. Hélas ! J’ai peiné à m’y intéresser, le personnage principal est difficile à cerner, et je n’ai pas compris ses réactions.
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À une époque où disparaissent les derniers témoins des atrocités commises par les nazis, des enfants ou petits-enfants interrogent leur filiation. Sorj Chalandon s'interroge sur le rôle d’un père « qui était du mauvais côté » pendant la Seconde Guerre mondiale.
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Que signifie être juif en 2021 ? Dans La carte postale Anne Berest répond que c’est être le descendant d’une famille disparue dans les camps de concentration. Elle explique aussi que c’est d’être perçue de façon différente — évidemment pas toujours bienveillante.
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Hommage à un ami, Bakhtiyar Haddad, hommage aux victimes du Bataclan, hommages aux syriens et aux Irakiens qui ont combattu les armes à la main, belle intention pour L’homme qui riait sous les bombes mais une belle intention fait-elle un bon livre ?
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Un court livre, léger et amusant, qui restera dans ma mémoire pour l’originalité du propos. Les indécis sont les personnes qui ne savent pas quel genre littéraire choisir. Mais pourquoi donc choisir un genre littéraire ?
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Un débat aussi vieux que l’invention des machines : finiront elles par dépasser l’homme ? Une discussion qui n’est pas près de s’arrêter. Et pourtant le titre de l’ouvrage, Les rêveurs définitifs, parle de rêves. Oui, mais dans un monde où nous vivons accrochés à notre smartphone.