🖤🖤🖤🖤🖤
C’est drôle, c’est noir, touchant aussi, bourré d’humanité. Petiote de Benoît Philippon, encore un livre que j’ai regretté d’avoir fini, mais après avoir lu Mamie Luger, il me reste Cabossé à lire du même auteur.
🖤🖤🖤🖤
Le style d’Ivan Bounine émerveille et son écriture lyrique m’a passionnée suffisamment pour que je m’intéresse à l’amour d’un jeune homme inconnu pour qui rien d’autre n’existe que son aimée. L’amour de Mitia, un coup de cœur.
🖤🖤🖤🖤🖤
Ascenseur émotionnel : je suis passée du rire aux larmes et les « dingues de chat » me comprendront. Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa est un livre délicieux qui n’apprend rien, mais joue sur les émotions.
🖤🖤🖤🖤🖤
Bien sûr, il y a l’intrigue policière et toutes les questions qui attendent des réponses. Mais c’est loin d’être la seule raison pour laquelle j’ai dévoré L’horizon d’une nuit de Camilla Grebe.
🖤🖤🖤🖤🖤
De vaillants pionniers, de farouches Maoris, un clipper, une histoire d’amour, voilà ce que Le pays du dauphin vert vous propose, un livre plein de rebondissements et une lecture régressive.
🖤🖤🖤🖤🖤
Avec Le Grand Monde, j’ai voyagé de Beyrouth à Saïgon en Indochine, en passant par Paris. J’ai suivi les péripéties des membres de la famille Pelletier, dont les drames personnels se mêlent aux évènements historiques. Et toujours l’écriture subtile et ironique de Pierre Lemaitre.
🖤🖤🖤🖤🖤
Faut-il vivre sa vie ou la rêver ?
L’auteur part d’une situation particulière, une jeune femme musulmane homosexuelle, pour en faire une histoire aux thèmes universels : femme et religion, amours contrariées et désirs d’enfant.
🖤🖤🖤🖤🖤
Le Soudan du Sud, l’aide humanitaire et ses compromis, les journalistes et les risques insensés pris pour témoigner sont les composants de Sous le sol de coton noir, un livre de Paul Duke, coup de poing nécessaire pour aller au-delà des chiffres et des mauvaises nouvelles annoncées par les journaux télévisés.
🖤🖤🖤🖤🖤
Vivantes et brisées par la Première Guerre mondiale, c’est ce qu’affrontent Ada, Evelyn et Hettie, les trois femmes du livre Le chagrin des vivants. Elles ne sont pas les seules, les hommes qui sont revenus n’ont guère plus d’avenir.
🖤🖤🖤🖤🖤
Le passeur de Stéphanie Coste explore les méandres de l’âme d’un passeur cynique et l’impitoyable réalité des migrants sur les rivages de la Libye. L’histoire, où espoir et désespoir se côtoient, est magnifiée par le style puissant de l’autrice.
🖤🖤🖤🖤🖤
Parler de la mort, c’est aussi parler de la vie. J’avoue l’avoir oublié quand j’ai reculé devant le thème du livre de Delphine Horvilleur, Vivre avec nos morts. Un sujet dans lequel je n’avais pas envie d’entrer. Erreur réparée grâce à une amie qui m’a prêté le livre.
🖤🖤🖤🖤🖤
D’abord, j’ai été intriguée par ce qui se disait sur La plus secrète mémoire des hommes, de quoi me donner envie de le lire. Ensuite, j’ai soupiré sur les 50 premières pages, encore 400 pages comme ça ? C’était ennuyeux, malgré le très beau style. Enfin, le livre démarre.
🖤🖤🖤🖤🖤
Tous les livres de Michael Connelly sont excellents, mais L’innocence et la loi mérite un coup de cœur, à la fois pour cette plongée au sein de la justice américaine et pour le rythme haletant du livre.
🖤🖤🖤🖤🖤
Un thème fantastique, celui du pacte avec le diable, mais revisité avec humour, tout ce que j’aime dans un livre fantastique. La rose des carcasses est une excellente surprise, et finalement un coup de cœur malgré quelques touts petits défauts.
🖤🖤🖤🖤🖤
Le chat, le général et la corneille est un livre rare. Les personnages sont décrits avec précision, de même que les lieux où le récit se déroule. Pour finir, il aborde de nombreux thèmes, sans jamais juger, mais plutôt en montrant les impacts sur les protagonistes.
🖤🖤🖤🖤🖤
Quelle puissance dans ce livre, par l’écriture, l’émotion ou par le thème. Ce pourrait être une quête d’identité, il n’en est rien, c’est sur le refus de cette quête que le personnage principal se construit. Magnus de Sylvie Germain fait partie de la liste des livres incontournables.
🖤🖤🖤🖤🖤
Un livre brillantissime et un rien potache. Coup de cœur pour ce livre iconoclaste. J’ai imaginé un défi lancé à l’auteur : pas cap d’écrire un livre sur un sujet fumeux. Eh bien si, défi ou pas, Nathan Devers le relève haut la main dans Espace fumeur.
🖤🖤🖤🖤🖤
J’ai lu le livre d’Andreï Makine, L’ami arménien d’une traite et en une soirée, emportée par l’intrigue, les personnages, l’univers narratif et le style bien sûr. Ou peut-être par l’alchimie mystérieuse entre tous ces éléments, une alchimie dont il va être difficile de rendre compte.
🖤🖤🖤🖤🖤
Ma première réaction a été de me demander pourquoi l’Académie Goncourt avait attribué son prestigieux prix (2020) à un livre, L’anomalie, qui commençait comme un thriller, avec une écriture efficace, certes, mais dont le style est absent.
🖤🖤🖤🖤🖤
Après avoir lu Le cycle d’Hypérion et le tome 1 de l’Échiquier du mal, j’avais perdu de vu l’auteur. J’ai pourtant savouré Le cinquième cœur, un roman policier, mi-fantastique, mi-humoristique, qui met en scène Sherlock Holmes et Henry James.
🖤🖤🖤🖤🖤
Tout ce que j’aime dans un livre : une intrigue bien ficelée, un personnage attachant dont l’évolution est dépeinte avec finesse, et une jolie écriture, celle de Laure Gombault. D’accord, Catherine, mais de quoi parle Le ventre de Vénus ? Il parle de… non, en fait je vous le décris comme d’habitude.
🖤🖤🖤🖤🖤
J’ai savouré beaucoup de pages, je me suis un peu ennuyée pour certaines, mais heureusement, une nouvelle idée, un rebondissement inattendu relançait l’intérêt et je recommençais à savourer Les furtifs.
🖤🖤🖤🖤🖤
Il y a des livres dont on parle moins que d’autres et c’est bien dommage. Heureusement, le Prix des libraires 2020, décerné à Akira Mizubayashi pour Âme brisée, permet à ce livre de trouver une nouvelle audience.