Littérature contemporaine française et étrangère, littérature classique française et étrangère, romans de terroir, autofictions, listes par thèmes, nouvelles.
Une histoire d’amitié et d’amours avec des personnages jeunes, brillants et attachants. Demain, et demain, et demain propose une intrigue riche en thèmes et en émotions.
La mort fait partie de la vie, mais quand il s’agit d’un enfant, la mort n’a plus rien de normal ni de naturel, c’est une monstruosité, la pire chose qu’un homme ou une femme puisse connaître. Mathilde Gall nous raconte l’après dans Malgré les vagues.
Tous les matins du monde est l’apprentissage romancé du violiste Marin Marais auprès de son maître, Jean de Sainte-Colombe. Un livre décevant, tant au regard des personnages à peine esquissés, qu’à l’écriture trop sèche. Une œuvre qui risque de ne pas vous donner envie d’écouter de la musique baroque.
Mars de l’écrivain zurichois Fritz Zorn, est un livre qui peut se comprendre de bien des façons. Il est avant tout le cri de colère d’un homme atteint d’un cancer et qui n’avait jamais trouvé d’intérêt à la vie, chose qui paraissait tellement facile pour les autres.
Les amants du presbytère correspond à ma définition du roman de gare, acheté en vitesse, lu d’une traite dans un train ou dans un avion et abandonné sur le siège. Un roman qui a fait le job : vous distraire le temps d’un voyage, mais sans émouvoir ni donner à réfléchir.
Lisez Miss Islande pour l’écriture magique d’Auður Ava Ólafsdóttir, même si vous regretterez — peut-être — de ne pas vraiment comprendre les personnages.
Seules les bêtes — un titre que j’ai eu du mal à expliquer — de Colin Niel est un roman noir à la narration parfaitement maîtrisée. Encore un sans-faute pour cet auteur découvert récemment.
Amok ou le fou de Malaisie est un recueil de trois nouvelles si sombres, si étranges qu’elles en deviennent irréalistes. Un livre loin d’être un de mes préférés de Stefan Zweig.
Soré, le livre de Jørn Riel m’a déroutée, sans doute parce qu’il est rare de s’immerger dans la culture inuite. Je l’ai terminé en pensant qu’il fallait que j’en lise d’autres pour mieux comprendre et apprécier.
Je dois avouer que Le joueur, ce livre aux personnages excessifs qui vont droit à la catastrophe et en toute irrationalité m’a laissée perplexe. Je dois être beaucoup trop rationnelle pour apprécier.
Blizzard de Marie Vingtras a marqué la rentrée littéraire automne 2021. Une bonne surprise que ce premier roman qui combine histoire originale et tempête de neige. Une autrice à suivre.
Le Guépard de Giuseppe Tomasi di Lampedusa retrace le lent déclin d’une famille sicilienne. D’une facture très classique, il comporte des personnages inoubliables.
Celui qui a vu grandir la forêt est un roman sombre, très sombre et pourtant totalement addictif. Un excellent livre qui parle de la condition humaine sans oublier la condition féminine.
Le liseur de Bernhard Schlink, c’est une histoire d’amour, mais c’est surtout l’histoire de la génération d’Allemands née pendant ou après la Deuxième Guerre mondiale et qui doit se confronter à la génération précédente.
Le vent reprend ses tours est un livre poétique de Sylvie Germain sur une rencontre qui fait grandir un adolescent. L’arrêt de cette relation aura des conséquences dramatiques. Pourquoi ? Comment ? Je vous donne quelques clés, sans vous raconter l’histoire.
Et c’est ainsi que nous vivrons est une dystopie, un genre courant en ce moment, peut-être parce que nous redoutons l’avenir. Mais si j’ai dévoré ce livre, grâce à l’intrigue, j’ai été moins convaincue par le monde tel que Douglas Kennedy le décrit.
Malgré une narration exceptionnelle et de belles descriptions, le livre de Michel Bussi, Nouvelle Babel me laisse une impression mitigée, trop de raccourcis de clichés et d’incohérences.
Que feriez-vous si vous receviez un tableau de grande valeur, votre tableau préféré ? Le garderiez-vous pour le contempler à loisir ? Ou bien le vendriez-vous pour que votre père puisse se soigner et que votre mari ait la vie dont il rêve ?
L’histoire de ces jeunes Américains venus, de si loin, se battre sur le sol français a toujours été pour moi un des épisodes les plus poignants de l’Histoire. L’un des nôtres raconte admirablement celle de l’un d’eux.
La chambre des officiers de Marc Dugain raconte le combat poignant de trois hommes et une femme pour faire face à leurs blessures qui ont fait d’eux des « gueules cassées ». Le roman n’est pourtant pas aussi sombre qu’il y paraît, parce que, finalement, la vie vaincra grâce à leur volonté.
Idéal pour un moment de détente, cette histoire de vengeance, parfaitement racontée par Guillaume Clicquot. Prenez-moi pour une conne, s’exclame Orane de Lavallière.
La lecture de Soumission ne fut ni un plaisir ni une lecture nécessaire, juste une lecture pour un challenge, histoire de confirmer que Michel Houellebecq n’est décidément pas un auteur pour moi. Ne vous attendez donc pas à des louanges.
Passion simple est un court roman sur une passion amoureuse de la narratrice. Il est à rapprocher des autres œuvres d’Annie Ernaux parce qu’en tant que lecture indépendante, il m’a laissée sur ma faim.
Quelle belle surprise que ce livre de Solène Bakowski, Ce que je n’ai pas su ! Une intrigue inattendue et des personnages attachants en font un plaisir de lecture. J’ai tourné les pages, avide d’en apprendre plus sur ce personnage mystérieusement disparu.