Livres coups de cœur

Coup de cœur pour Âme brisée d’Akira Mizubayashi, pour tout ce qu’on découvre dans ce livre et pour les émotions qui s’en dégagent.

Coup de cœur pour Dora Bruder de Patrick Modiano pour le travail de l’auteur sur le passé et la mémoire, la quête d’identité ainsi que pour son écriture si particulière.

Coup de cœur pour Je me souviens de Falloujah de Feurat Alani pour les émotions qui se dégagent du roman, pour l’histoire irakienne récente et pour la délicatesse avec laquelle l’auteur raconte son père.

Coup de cœur pour L’archipel d’une autre vie d’Andreï Makine, pour la détermination des personnages et pour le but qu’ils se sont donné.

Coup de cœur pour L’art de perdre d’Alice Zeniter, pour l’histoire de cette jeune femme qui part à la recherche de ses origines kabyles et pour la narration de l’autrice.

Coup de cœur pour Le bureau d’éclaircissement des destins de Gaëlle Nohant pour sa recherche sur l’International Service Tracing et la façon dont elle a traité le thème.

Coup de cœur pour Le Ghetto intérieur de Santiago Amigorena, pour cette histoire d’un homme qui a fui le nazisme et qui se sent coupable d’avoir abandonné sa famille.

Coup de cœur pour Le Grand Monde de Pierre Lemaitre, pour sa maîtrise de la narration, pour son style si particulier et aussi pour la surprise qu’il réserve aux lecteurs de la trilogie Les enfants du désastre.

Coup de cœur pour L’enragé de Sorj Chalandon pour avoir rappelé l’existence des bagnes pour enfants, pour le personnage de Jules et pour la façon dont l’auteur nous permet de nous approprier cette histoire.

Coup de cœur pour Le passeur de Stéphanie Coste, pour son récit qui raconte les migrants du point de vue d’un passeur peu recommandable.

Coup de cœur pour Le ventre de Vénus de Laure Gombault, pour l’intrigue, le personnage féminin attachant, la finesse de l’autrice aussi bien dans ses personnages que dans son écriture.

Coup de cœur pour Magnus de Sylvie Germain, pour son personnage en quête d’identité, alors qu’il découvre avoir été adopté par des nazis.

Coup de cœur pour Petit pays de Gaël Faye, pour l’histoire de cet enfant, né d’un père français et d’une mère rwandaise, qui doit se confronter à la guerre.

Coup de cœur pour Que sur toi se lamente le Tigre d’Émilienne Malfatto, pour cette tragédie contemporaine à la construction efficace et au style remarquable.

Coup de cœur pour Un soir d’été de Philippe Besson pour la description de l’atmosphère de l’île de Ré en 1985 et les liens d’amitié entre jeunes adultes qui se tissent au rythme des amours estivales.

Coup de cœur pour Spectacle de Julien Dufresne-Lamy pour la plongée dans le monde de la K-pop (pop coréenne) et dans le mystère de Chip Chan.

Coup de cœur pour Témoin de rien de Tom Noti, pour l’approche de ses vies, entre bonheurs, malheurs et malheurs qui auraient pu être évités.

Coup de cœur pour Trois de Valérie Perrin pour cette histoire d’amitiés, de trahison, pour l’émotion qu’elle dégage et pour la profondeur des personnages. La narration est impeccable.

Coup de cœur pour American Dirt de Jeanine Cummins, pour le voyage de migrants au Mexique, parfois en empruntant la Bestia, d’autres fois en traversant le désert.

Coup de cœur pour Au prochain arrêt de Hiro Arikawa pour la douceur et la sérénité, pour les personnages qui se croisent dans un train à l’aller et se recroisent au retour.

Coup de cœur pour Demain, et demain, et demain de Gabrielle Zevin pour ses personnages attachants, la description de l’univers des constructeurs de monde (jeux vidéos) et pour l’histoire d’amour et d’amitié.

Coup de cœur pour Eden d’Auður Ava Ólafsdóttir pour la douceur du changement de vie d’Alba et pour son engagement écologique. À ce jour, le livre que je préfère de l’autrice, mais vous en trouverez d’autres sur le site.

Coup de cœur pour Eureka Street de Robert McLiam Wilson parce que j’ai aimé accompagner les personnages qui, presque tous, ne se sentaient pas concernés par la guerre en Irlande du Nord. Il la subissait pourtant.

Coup de cœur pour La cité des nuages et des oiseaux d’Anthony Doerr pour son incroyable construction qui joue sur trois époques différentes, sans jamais perdre le lecteur.

Coup de cœur pour Le chagrin des vivants d’Anna Hope, pour la délicatesse avec laquelle elle parle de l’après Première Guerre mondiale à Londres, des survivants qu’ils se soient battu ou non.

Coup de cœur pour Le goûter du Lion d’Ito Ogawa, pour la douceur avec laquelle elle traite d’un sujet qui aurait dû être plombant, les derniers jours d’une jeune femme.

Coup de cœur pour Le liseur de Bernhard Schlink pour la description de l’Allemagne après la Deuxième Guerre mondiale, le personnage d’Hannah et le mystère qu’elle représente.

Coup de cœur pour Le Pays du Dauphin Vert d’Elizabeth Goudge, pour cette histoire d’amours et d’aventures. Une intrigue romanesque et de nombreux rebondissements.

Coup de cœur pour Le Pingouin d’Andreï Kourkov pour le récit décalé derrière lequel se profile la société ukrainienne. Aussi loufoque que sérieux.

Coup de cœur pour Le roi et l’horloger d’Arnaldur Indridason pour les relations complexes entre un humble artisan, qui prend soin de garder la tête baissée, et un roi à moitié fou. Une histoire poignante.

Coup de cœur pour À la ligne Feuillets d’usine de Joseph Ponthus pour son écriture en vers libres (mais facile à lire) et pour les émotions que j’ai ressenties.

Coup de cœur pour Espace fumeur de Nathan Devers, un livre iconoclaste, brillantissime et un rien potache. Vous découvrirez Pierre Louÿs et Maurice de Fleury.

Coup de cœur pour Les enfants endormis d’Anthony Passeron pour son témoignage sur son oncle mort du Sida et pour son rappel des luttes contre cette maladie.

Coup de cœur pour Lettres de Paris de Caroline Leblanc pour l’émotion qui se dégage des promenades de Caroline, l’envie de se joindre à elle pour flâner. Un livre trop peu connu.

Coup de cœur pour Quand tu écouteras cette chanson de Lola Lafon, pour les émotions que dégage ce livre et pour ce que l’on apprend sur Anne Franck. Un appel à rester vigilant.

Coup de cœur pour V13 Chronique judiciaire d’Emmanuel Carrère pour son compte-rendu du procès des attentats du 13 novembre et pour tout ce qu’on y apprend.

Coup de cœur pour Vivre avec nos morts de Delphine Horvilleur, pour sa sagesse et son humour. Une autrice qui met de la lumière là où il n’y en a pas.